« Tristel a mis au point une chimie unique issue de la synthèse du dioxyde de chlore (ClO2), un oxydant au pouvoir biocide puissant. Cette technologie complexe, parfaitement maîtrisée et qui nous appartient à 100%, nous positionne aujourd’hui comme un acteur majeur de la désinfection de haut niveau pour les dispositifs médicaux », explique son directeur, Bart Leemans. Il faut dire que la chimie ClO2 Tristel se démarque grandement par rapport aux autres solutions utilisées pour l’élimination des micro-organismes sur les surfaces et instruments médicaux. Elle ne nécessite, en premier lieu, qu’un temps de contact très court, et surtout uniforme quels que soient les pathogènes à éliminer. « C’est là une véritable innovation. Habituellement, le temps de contact varie en fonction des souches visées, ce qui peut être compliqué à mettre en œuvre », note Christian Faure, directeur commercial pour la France. La technologie Tristel offre, elle, une simplification bienvenue qui permet de lutter, en seulement 30 secondes, contre l’ensemble des micro-organismes : les bactéries, y compris le SARM, les mycobatéries dont le Bacille de Koch, les virus, et notamment les types 16 et 18 du HPV, responsables de plus de 90% des cancers de la gorge et de l’utérus, les levures et champignons et enfin les spores, dont la destruction est exigée pour la désinfection de haut niveau. Un spectre large en parfaite adéquation avec les exigences normatives et les recommandations des tutelles. Les produits Tristel sont d’ailleurs tous classés et marqués CE selon l’usage adressé.
Une solution retenue par les CHU français
Cette haute efficacité biologique est toutefois sans danger pour les utilisateurs ni les dispositifs médicaux eux-mêmes, contrairement par exemple à l’acide peracétique. Par ailleurs, et après des années d’étude, aucun élément ne porte aujourd’hui à croire que les micro-organismes puissent développer une résistance au CIO2. D’autant que la chimie Tristel ne laisse aucun sous-produit nocif après utilisation. « La création du CIO2 génère également du citrate de sodium et du sel, deux agents courants et sans risques, ainsi que de l’eau. Le CIO2 se présente à ce titre sous une forme aqueuse bi-phasique, dont aucun résidu ne subsiste après séchage », détaille Bart Leemans. Autre force, et non des moindres : sa reconstitution, effectuée en extemporané, assure une efficacité immédiate et une action optimale, sans qu’il ne soit nécessaire de se prémunir contre la dégradation physicochimique naturelle. Autant d’atouts qui ont permis à Tristel d’innover à bien des égards. « Nous avons notamment été les premiers à développer et restons les seuls à proposer des lingettes pré-imprégnées pour la désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux », raconte Christian Faure. Cette gamme élargie permet aujourd’hui de répondre à une large variété de besoins, dans les services de gynécologie, ORL, cardiologie, ophtalmologie, urologie, etc. Pour preuve, près d’une cinquantaine de pays – et l’ensemble des CHU français – ont aujourd’hui choisi la technologie Tristel pour renforcer la lutte contre les risques infectieux au bénéfice de leurs équipes et leurs patients.
Plus d’informations : https://tristel.com/fr-fr/.
Article publié dans l'édition de septembre 2021 d'Hospitalia à lire ici.
Plus d’informations : https://tristel.com/fr-fr/.
Article publié dans l'édition de septembre 2021 d'Hospitalia à lire ici.