Pourquoi avoir porté votre attention sur les écrins Byola ?
Dr Olivier Meunier : La désinfection par UVC a depuis longtemps convaincu les hygiénistes : nous savons que ces rayons sont efficaces pour détruire les micro-organismes, avec toutefois deux limites. L’exposition aux UVC doit s’effectuer hors présence humaine, pour protéger l’opérateur. Et il convient de limiter les zones d’ombre car, comme vous l’imaginez, un côté non exposé au rayonnement ne sera de fait pas désinfecté. Or les écrins Byola répondent justement à ces deux problématiques : les caissons sont parfaitement hermétiques, ce qui garantit la sécurité des utilisateurs, et leurs parois internes sont bardées de lampes UVC de manière à pouvoir exposer au rayonnement toutes les surfaces d’un objet. Nous avons néanmoins souhaité vérifier leur efficacité par nous-mêmes… et nous n’avons pas été déçus.
Comment avez-vous procédé ?
Nous avons effectué trois tests, avec à chaque fois une mesure de la charge bactérienne initiale, et une seconde mesure après une exposition de deux minutes aux UVC dans l’écrin Byola. Nous avons commencé par les jouets en pédiatrie, dont la désinfection manuelle est fastidieuse. Nous avons plus particulièrement testé les pièces d’un jeu d’échecs, et constaté une réduction de 2,1 log pour celles exposées aux UVC – le nombre de bactéries a donc été divisé par 100. Byola est ainsi 10 fois plus efficace qu’une désinfection manuelle, où nous obtenons en moyenne qu’un 1 log de réduction. Pour le second test, nous avons choisi des masques chirurgicaux portés depuis au moins 4h. Sur ceux exposés aux UVC, la réduction a été de 2,5 log. Enfin, nous avons essayé avec les brassards des tensiomètres, difficiles à désinfecter manuellement à cause du velcro. Là aussi, nous avons constaté un taux de désinfection jamais atteint auparavant, soit 1 log sur le velcro, et près de 2 log sur la partie textile.
Votre verdict ?
Ces résultats sont très impressionnants. Les écrins Byola ont à mon sens un réel intérêt pour désinfecter rapidement et efficacement des objets du quotidien – magazines des salles d’attente, jouets et livres du service pédiatrie, etc. – ou des dispositifs médicaux non critiques. D’autant que, au-delà de l’expérimentation que nous avons menée sur les bactéries, d’autres laboratoires ont également testé et validé l’efficacité des UVC sur les virus. Il s’agit donc d’une alternative pertinente et 100 % éco-responsable par rapport à la désinfection chimique.
Article publié dans l'édition de mai 2022 d'Hospitalia à lire ici.
Dr Olivier Meunier : La désinfection par UVC a depuis longtemps convaincu les hygiénistes : nous savons que ces rayons sont efficaces pour détruire les micro-organismes, avec toutefois deux limites. L’exposition aux UVC doit s’effectuer hors présence humaine, pour protéger l’opérateur. Et il convient de limiter les zones d’ombre car, comme vous l’imaginez, un côté non exposé au rayonnement ne sera de fait pas désinfecté. Or les écrins Byola répondent justement à ces deux problématiques : les caissons sont parfaitement hermétiques, ce qui garantit la sécurité des utilisateurs, et leurs parois internes sont bardées de lampes UVC de manière à pouvoir exposer au rayonnement toutes les surfaces d’un objet. Nous avons néanmoins souhaité vérifier leur efficacité par nous-mêmes… et nous n’avons pas été déçus.
Comment avez-vous procédé ?
Nous avons effectué trois tests, avec à chaque fois une mesure de la charge bactérienne initiale, et une seconde mesure après une exposition de deux minutes aux UVC dans l’écrin Byola. Nous avons commencé par les jouets en pédiatrie, dont la désinfection manuelle est fastidieuse. Nous avons plus particulièrement testé les pièces d’un jeu d’échecs, et constaté une réduction de 2,1 log pour celles exposées aux UVC – le nombre de bactéries a donc été divisé par 100. Byola est ainsi 10 fois plus efficace qu’une désinfection manuelle, où nous obtenons en moyenne qu’un 1 log de réduction. Pour le second test, nous avons choisi des masques chirurgicaux portés depuis au moins 4h. Sur ceux exposés aux UVC, la réduction a été de 2,5 log. Enfin, nous avons essayé avec les brassards des tensiomètres, difficiles à désinfecter manuellement à cause du velcro. Là aussi, nous avons constaté un taux de désinfection jamais atteint auparavant, soit 1 log sur le velcro, et près de 2 log sur la partie textile.
Votre verdict ?
Ces résultats sont très impressionnants. Les écrins Byola ont à mon sens un réel intérêt pour désinfecter rapidement et efficacement des objets du quotidien – magazines des salles d’attente, jouets et livres du service pédiatrie, etc. – ou des dispositifs médicaux non critiques. D’autant que, au-delà de l’expérimentation que nous avons menée sur les bactéries, d’autres laboratoires ont également testé et validé l’efficacité des UVC sur les virus. Il s’agit donc d’une alternative pertinente et 100 % éco-responsable par rapport à la désinfection chimique.
Article publié dans l'édition de mai 2022 d'Hospitalia à lire ici.
> Plus d’informations sur le site de Byola.
Byola, la solution pour un environnement propre et protégé
Capables d’éradiquer en quelques minutes virus et bactéries, les écrins de désinfection par lampes UVC Byola s’appuient sur une technologie simple, efficace et modulable. « Byola, c’est l’innovation au service de l’Homme, pour conserver un monde propre sans tuer son écosystème. Notre procédé est écologique et inscrit dans une démarche zéro déchet, se positionnant à ce titre comme une alternative réelle à l’usage de produits chimiques, non seulement très nocifs mais qui sont, en outre, de plus en plus inefficaces », souligne Joseph Colletta, directeur général de cette PME lauréate, en 2021, du trophée Jeune Pousse décerné par la Région Est.
Capables d’éradiquer en quelques minutes virus et bactéries, les écrins de désinfection par lampes UVC Byola s’appuient sur une technologie simple, efficace et modulable. « Byola, c’est l’innovation au service de l’Homme, pour conserver un monde propre sans tuer son écosystème. Notre procédé est écologique et inscrit dans une démarche zéro déchet, se positionnant à ce titre comme une alternative réelle à l’usage de produits chimiques, non seulement très nocifs mais qui sont, en outre, de plus en plus inefficaces », souligne Joseph Colletta, directeur général de cette PME lauréate, en 2021, du trophée Jeune Pousse décerné par la Région Est.