Raphaël Ruano et son équipe, composée de Marc Bouche (adjoint) et de Lorraine François (chargée de mission performance), mettront en œuvre d’ici 2017 la 2nde phase du programme PHARE avec un objectif de gain achat de 1,4Md€ (pour mémoire, 850M€ de gains pour 2012-14).
Ces missions s’inscrivent dans un nouvel environnement : la transition vers une fonction achat de territoire dans le contexte des futurs groupements hospitaliers de territoire, qui encourageront les synergies entre établissements dans une perspective de performance économique accrue.
Cette 2nde phase aura plus particulièrement pour objectif d’installer des processus d’achat pérennes et performants dans chaque établissement en institutionnalisant la fonction achat. La mise en place d’un contrôle de gestion achat, le développement de systèmes d’information dédiés - simplifiant le pilotage des gains - ainsi qu’une convergence renforcée entre achats et approvisionnements contribueront à franchir cette nouvelle étape.
Ces missions s’inscrivent dans un nouvel environnement : la transition vers une fonction achat de territoire dans le contexte des futurs groupements hospitaliers de territoire, qui encourageront les synergies entre établissements dans une perspective de performance économique accrue.
Cette 2nde phase aura plus particulièrement pour objectif d’installer des processus d’achat pérennes et performants dans chaque établissement en institutionnalisant la fonction achat. La mise en place d’un contrôle de gestion achat, le développement de systèmes d’information dédiés - simplifiant le pilotage des gains - ainsi qu’une convergence renforcée entre achats et approvisionnements contribueront à franchir cette nouvelle étape.
Biographie
Raphaël Ruano est né le 17 juin 1959 à Cordoue (Espagne). Il est diplômé de l’Executive MBA d’HEC et de l’INSA Toulouse.
Il débute sa carrière chez Veolia dans les métiers de l’eau. Il s’oriente ensuite vers le secteur spatial, au sein du CNES où il s’investit dans les grands programmes spatiaux européens notamment comme chef de projet sur les programmes de navette spatiale Hermès et du lanceur Ariane 5. Il intègre ensuite la société Arianespace à Kourou en Guyane. Il y assume la responsabilité des installations de lancement lors de campagnes de tirs Ariane 4 et 5. Il intervient également sur l’optimisation financière des processus d’exploitation des pas de tirs. Il revient au CNES en 2003 et contribue à la refonte du contrôle de gestion notamment sur le plan du pilotage budgétaire. Il prend ensuite en charge les politiques d’achat et structure les contrats dans une logique de marketing achat.
Il intègre en 2012 le CHU de Toulouse dans le cadre du programme PHARE, il y crée puis met en œuvre la Direction des Achats intervenant dans tous les secteurs d’achat d’exploitation de l’hôpital. Il définit et met en œuvre les plans d’achat d’équipements des nouveaux sites : Pierre-Paul Riquet (600 lits) et institut universitaire de cancérologie (310 lits).
Il débute sa carrière chez Veolia dans les métiers de l’eau. Il s’oriente ensuite vers le secteur spatial, au sein du CNES où il s’investit dans les grands programmes spatiaux européens notamment comme chef de projet sur les programmes de navette spatiale Hermès et du lanceur Ariane 5. Il intègre ensuite la société Arianespace à Kourou en Guyane. Il y assume la responsabilité des installations de lancement lors de campagnes de tirs Ariane 4 et 5. Il intervient également sur l’optimisation financière des processus d’exploitation des pas de tirs. Il revient au CNES en 2003 et contribue à la refonte du contrôle de gestion notamment sur le plan du pilotage budgétaire. Il prend ensuite en charge les politiques d’achat et structure les contrats dans une logique de marketing achat.
Il intègre en 2012 le CHU de Toulouse dans le cadre du programme PHARE, il y crée puis met en œuvre la Direction des Achats intervenant dans tous les secteurs d’achat d’exploitation de l’hôpital. Il définit et met en œuvre les plans d’achat d’équipements des nouveaux sites : Pierre-Paul Riquet (600 lits) et institut universitaire de cancérologie (310 lits).