« Au-delà de l’utilisation excessive et du mésusage des médicaments antimicrobiens, qui en constituent la cause principale, la RAM est également favorisée par le manque de prévention des infections, qui contribue à la propagation des pathogènes ayant développé des résistances. L’hygiène des mains et la désinfection régulière des dispositifs médicaux et des surfaces représentent à ce titre deux éléments capitaux de la lutte contre la RAM. Encore faut-il utiliser un désinfectant non fixant, pour prévenir la propagation de micro-organismes résistants aux antimicrobiens et éviter la formation du biofilm dans lequel ils peuvent s’accumuler », explique le directeur de Tristel France, Bart Leemans. C’est justement pour répondre à cette problématique que Tristel, acteur mondial de la désinfection, a développé JET, le premier désinfectant sporicide prêt à l’emploi pour les surfaces médicales formulé à partir de sa chimie unique, le CIO2. « Le CIO2 fonctionne par oxydation, en séquestrant les électrons des micro-organismes, ce qui provoque un déséquilibre moléculaire et dénature leur ADN et ARN. Un tel procédé physico-chimique conduit inévitablement à la destruction des pathogènes, y compris les souches résistantes aux antibiotiques, sans qu’il leur soit possible de développer de résistance contre ce désinfectant puissant », poursuit-il. Et c’est loin d’être le seul atout de JET, produit de la gamme Cache exclusivement dédiée à la désinfection sporicide des surfaces et qui vient à ce titre compléter la gamme historique Tristel, destinée à la désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux.
Spectre large et temps de contact extrêmement court
JET a une efficacité sporicide et est en parfaite conformité avec la norme EN 17126. Ce désinfectant est également efficace contre les bactéries, mycobactéries, virus, levures et Fungi – dont Aspergillus brasiliensis et Candida auris. Un spectre complet que le désinfectant adresse en un temps de contact d’une minute seulement, et qui le positionne comme la solution prête à l’emploi la plus rapide du marché. « Autre fait notable, la solution est générée sous la forme d’une mousse non aérosol, et est dès lors sans impact sur la capacité pulmonaire des utilisateurs. Ce conditionnement assure en outre une application plus précise pour désinfecter toutes les surfaces pouvant être vectrices de transmission », note Christian Faure, directeur commercial de Tristel France. S’imposant comme un candidat plus que sérieux pour le traitement des zones à risque en milieu hospitalier, JET est par ailleurs proposé à un tarif très intéressant : 3,5 centimes d’euro, soit 0,035 euro, la dose de 1,4 ml, un volume largement supérieur au contenu d’une lingette pré-imprégnée. « Le support d’essuyage est pour sa part laissé au libre choix de l’établissement. Cellulose ou microfibre, lingette réutilisable ou à usage unique, cela n’a aucune conséquence sur l’efficacité de JET », ajoute Bart Leemans en précisant que la gamme Cache a aussi pour objectif d’aider le secteur à réduire son utilisation de plastique jetable à usage unique, une problématique importante liée au marché des lingettes désinfectantes pré-imprégnées. Les établissements qui le souhaitent peuvent aujourd’hui demander un échantillon test – jusqu’à épuisement des stocks – en écrivant à france@tristel.com .
*Menée dans 204 pays et territoires, elle estime que la RAM a causé 1,27 millions de décès en 2019, et que les infections résistantes aux antimicrobiens ont joué un rôle dans 4,95 millions de décès.
Plus d'informations sur le site de Tristel.
Article publié dans l'édition de février 2022 d'Hospitalia à lire ici.
*Menée dans 204 pays et territoires, elle estime que la RAM a causé 1,27 millions de décès en 2019, et que les infections résistantes aux antimicrobiens ont joué un rôle dans 4,95 millions de décès.
Plus d'informations sur le site de Tristel.
Article publié dans l'édition de février 2022 d'Hospitalia à lire ici.