Mutualisation des compétences au profit des patients militaires et civils
Grâce à l'accord-cadre signé entre l'HIA Legouest et le CHR Metz-Thionville, les compétences et techniques de chacun en traumato-orthopédie et en imagerie médicale seront désormais mutualisés. Les deux établissements collaboraient déjà dans le domaine de la dermatologie et le ministre a exprimé le souhait de la constitution d’un groupement de coopération sanitaire (GCS).
Cette coopération s’inscrit dans l’application de la loi hôpital - patient - santé - territoire (HPST). Elle « vient conforter l’insertion de votre hôpital dans l’offre de soins locale » a déclaré le ministre de la Défense. Elle est une « garantie du meilleur pour la patientèle de défense et la population messine » a-t-il ajouté.
Cet accord-cadre est une étape importante dans la perspective d’ouverture à la santé publique que prévoit le nouveau projet du service de santé des armées, présenté le 25 novembre dernier. Un travail est mené en collaboration avec le ministère des affaires sociales et de la santé pour faire reconnaître au plan national le service de santé des armées comme un acteur à part entière du service public et des territoires de santé. « Nous partageons les mêmes valeurs de service auprès des usagers, qu’ils soient civils ou militaires » a dit M. Jean-Yves Le Drian. Le SSA réforme actuellement en profondeur sa politique d’offre de soins hospitalière, tout en œuvrant pour conserver son excellence dans le soutien médical opérationnel des forces armées pour leur permettre d’entrer en premier sur un théâtre d’opérations, et cela, de façon autonome.
Droits : © Service de santé des armées
Cette coopération s’inscrit dans l’application de la loi hôpital - patient - santé - territoire (HPST). Elle « vient conforter l’insertion de votre hôpital dans l’offre de soins locale » a déclaré le ministre de la Défense. Elle est une « garantie du meilleur pour la patientèle de défense et la population messine » a-t-il ajouté.
Cet accord-cadre est une étape importante dans la perspective d’ouverture à la santé publique que prévoit le nouveau projet du service de santé des armées, présenté le 25 novembre dernier. Un travail est mené en collaboration avec le ministère des affaires sociales et de la santé pour faire reconnaître au plan national le service de santé des armées comme un acteur à part entière du service public et des territoires de santé. « Nous partageons les mêmes valeurs de service auprès des usagers, qu’ils soient civils ou militaires » a dit M. Jean-Yves Le Drian. Le SSA réforme actuellement en profondeur sa politique d’offre de soins hospitalière, tout en œuvrant pour conserver son excellence dans le soutien médical opérationnel des forces armées pour leur permettre d’entrer en premier sur un théâtre d’opérations, et cela, de façon autonome.
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