La responsabilité environnementale est au cœur de toutes vos actions. Pourriez-vous nous en parler ?
Jean-Pierre Cardoso : Travaillant à réduire l’empreinte carbone de nos propres activités, nous avons également souhaité outiller les établissements de santé afin qu’ils puissent, eux aussi, agir en ce sens. Nous avons donc créé des indicateurs tenant compte d’un certain nombre de critères leur permettant d’évaluer, de manière objective, l’empreinte carbone liée à la valorisation d’un équipement réformé par un dispositif de vente volontaire aux enchères publiques. Dès le mois d’octobre 2023, nos clients qui le souhaitent pourront ainsi disposer de données spécifiques aux actions mises en œuvre au sein de leur établissement, et pouvoir par là même nourrir et affiner leur politique environnementale.
Avez-vous d’autres projets pour soutenir ces actions en faveur de l’économie circulaire ?
Bénéficiant de l’appui du groupe international TBAuctions, nous continuons en effet à élargir le champ des actifs valorisables par la vente volontaire aux enchères publiques : équipements de restauration, groupes électrogènes, mobiliers, véhicules médicaux, etc. Les établissements de santé sont très demandeurs, en France mais aussi en Belgique et au Luxembourg. L’Outre-Mer n’est pas en reste : nous avons été sollicités par les établissements de santé publics et privés de l’île de La Réunion, où la gestion des déchets électroniques est une problématique bien réelle, et leur avons proposé un service adapté et 100 % écoresponsable, qui devrait également bénéficier à la Guadeloupe et la Martinique. En tout état de cause, nous sommes convaincus que l’économie circulaire est une voie d’avenir et mettons tout en œuvre pour accélérer et pérenniser cette dynamique.
> Plus d'informations sur le site de FME
> Article publié dans l'édition de septembre d'Hospitalia à lire ici.
Jean-Pierre Cardoso : Travaillant à réduire l’empreinte carbone de nos propres activités, nous avons également souhaité outiller les établissements de santé afin qu’ils puissent, eux aussi, agir en ce sens. Nous avons donc créé des indicateurs tenant compte d’un certain nombre de critères leur permettant d’évaluer, de manière objective, l’empreinte carbone liée à la valorisation d’un équipement réformé par un dispositif de vente volontaire aux enchères publiques. Dès le mois d’octobre 2023, nos clients qui le souhaitent pourront ainsi disposer de données spécifiques aux actions mises en œuvre au sein de leur établissement, et pouvoir par là même nourrir et affiner leur politique environnementale.
Avez-vous d’autres projets pour soutenir ces actions en faveur de l’économie circulaire ?
Bénéficiant de l’appui du groupe international TBAuctions, nous continuons en effet à élargir le champ des actifs valorisables par la vente volontaire aux enchères publiques : équipements de restauration, groupes électrogènes, mobiliers, véhicules médicaux, etc. Les établissements de santé sont très demandeurs, en France mais aussi en Belgique et au Luxembourg. L’Outre-Mer n’est pas en reste : nous avons été sollicités par les établissements de santé publics et privés de l’île de La Réunion, où la gestion des déchets électroniques est une problématique bien réelle, et leur avons proposé un service adapté et 100 % écoresponsable, qui devrait également bénéficier à la Guadeloupe et la Martinique. En tout état de cause, nous sommes convaincus que l’économie circulaire est une voie d’avenir et mettons tout en œuvre pour accélérer et pérenniser cette dynamique.
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