La France, le monde, sont en lutte contre la pandémie de Covid-19. Monsieur le Président Macron a même utilisé le mot de « guerre ».
Les soignants, tous les soignants, se sont engagés sans hésitation dans cette lutte, malgré le manque criant de moyens.
D’autres catégories socio-professionnelles aussi ont collaboré dans ce combat, moins visibles mais avec un rôle tout aussi important pour la vie de chacun de nos concitoyens.
Certains ont été atteints, certains le sont encore, certains en garderont des séquelles, certains en sont morts.
Nos pensées vont à ceux qui nous ont quittés, à leur famille, à leurs proches mais aussi à celles et ceux qui luttent contre cette maladie et à toutes les personnes qui sont engagées dans cette lutte.
Au-delà de leur reconnaissance et de leur prise en charge en maladie professionnelle, la France se doit d’assurer l’avenir des enfants de ceux qui sont morts au service des autres en leur accordant le statut de Pupilles de la Nation.
Les soignants, tous les soignants, se sont engagés sans hésitation dans cette lutte, malgré le manque criant de moyens.
D’autres catégories socio-professionnelles aussi ont collaboré dans ce combat, moins visibles mais avec un rôle tout aussi important pour la vie de chacun de nos concitoyens.
Certains ont été atteints, certains le sont encore, certains en garderont des séquelles, certains en sont morts.
Nos pensées vont à ceux qui nous ont quittés, à leur famille, à leurs proches mais aussi à celles et ceux qui luttent contre cette maladie et à toutes les personnes qui sont engagées dans cette lutte.
Au-delà de leur reconnaissance et de leur prise en charge en maladie professionnelle, la France se doit d’assurer l’avenir des enfants de ceux qui sont morts au service des autres en leur accordant le statut de Pupilles de la Nation.