Premier établissement hospitalier privé du Bas-Rhin, le Groupe Hospitalier Saint Vincent (GHSV) a su se réorganiser pour accueillir, vendredi dernier, six premiers patients atteints du Covid-19. Provenant du CHU de Strasbourg et du CH de Colmar, ils ont été répartis dans deux unités dédiées au sein des cliniques Sainte Anne et Sainte Barbe. « D’une capacité de 6 lits de réanimation chacune, ces unités vont être renforcées de 6 lits supplémentaires d’ici lundi matin, pour porter la capacité d’accueil à 18 lits au total », annonçait vendredi la fondation dans un communiqué.
Les autres sites cliniques du groupe (La Toussaint et Saint Luc à Schirmeck) ont aussi organisé des secteurs dédiés à l’accueil des patients Covid-19. « L’établissement prend une part active à l’organisation de la réponse sanitaire au phénomène épidémique majeur que connait la France et surtout actuellement l’Alsace, complète la fondation. Cette participation du GHSV a été initiée dès le 10 mars en renforçant les équipes de régulation SAMU par l’appui de 12 de ses médecins. » Suite à cette réorganisation, le groupe hospitalier l’assure « les capacités hospitalières sont en tension mais ne sont pas dépassées ». Pour le groupe, comme pour tous les établissements hospitalier, l’enjeu réside dans le fait de « pouvoir étaler le plus possible dans le temps l’arrivée des patients présentant des formes graves de la maladie ». Pour cela, la fondation appelle à un strict respect des mesures barrières et des mesures de confinement tout en remerciant les particuliers et les entreprises pour les dons ainsi que pour les « témoignages de soutien et de solidarité ».
Les autres sites cliniques du groupe (La Toussaint et Saint Luc à Schirmeck) ont aussi organisé des secteurs dédiés à l’accueil des patients Covid-19. « L’établissement prend une part active à l’organisation de la réponse sanitaire au phénomène épidémique majeur que connait la France et surtout actuellement l’Alsace, complète la fondation. Cette participation du GHSV a été initiée dès le 10 mars en renforçant les équipes de régulation SAMU par l’appui de 12 de ses médecins. » Suite à cette réorganisation, le groupe hospitalier l’assure « les capacités hospitalières sont en tension mais ne sont pas dépassées ». Pour le groupe, comme pour tous les établissements hospitalier, l’enjeu réside dans le fait de « pouvoir étaler le plus possible dans le temps l’arrivée des patients présentant des formes graves de la maladie ». Pour cela, la fondation appelle à un strict respect des mesures barrières et des mesures de confinement tout en remerciant les particuliers et les entreprises pour les dons ainsi que pour les « témoignages de soutien et de solidarité ».