Pour la deuxième année consécutive, la Polyclinique de Reims-Bezannes truste la première place du classement. Comment l’expliquez-vous ?
Bruno Leray : Issue du regroupement de trois cliniques rémoises, la Polyclinique de Reims-Bezannes dispose d’une puissance médicale exceptionnelle, ce qui en fait un pôle sanitaire reconnu y compris à l’extérieur de notre région. Elle s’appuie à la fois sur des équipes médicales d’excellence et sur des plateaux techniques ultra-modernes, pour offrir des spécialités multiples et proposer une très large variété de prises en charge. Cette place au sein du classement du Pointvient donc conforter ce dynamisme hors norme, des équipes comme des infrastructures.
Artus de Saint-Pern : La spécificité du Groupe Courlancy, où près de la moitié des parts est détenue par un actionnariat médical, vient aussi, à mon sens, expliquer ce classement : les médecins sont au cœur du processus décisionnel, ce qui représente un atout indéniable pour la qualité des soins – un enjeu au cœur de notre démarche, tout comme la qualité du parcours patient est au cœur de nos réflexions.
Ces derniers mois, la polyclinique a joué un rôle actif dans la prise en charge des patients Covid+…
Bruno Leray : Effectivement, face à l’ampleur de la vague qui a touché notre région, nous avons très rapidement augmenté nos capacités de réanimation, passant de dix à 26 places. Cet effort a été couplé à la création d’un service d’urgences Covid+ et à la réservation d’une cinquantaine de place dans les unités de médecine pour ces patients.
Bruno Leray : Issue du regroupement de trois cliniques rémoises, la Polyclinique de Reims-Bezannes dispose d’une puissance médicale exceptionnelle, ce qui en fait un pôle sanitaire reconnu y compris à l’extérieur de notre région. Elle s’appuie à la fois sur des équipes médicales d’excellence et sur des plateaux techniques ultra-modernes, pour offrir des spécialités multiples et proposer une très large variété de prises en charge. Cette place au sein du classement du Pointvient donc conforter ce dynamisme hors norme, des équipes comme des infrastructures.
Artus de Saint-Pern : La spécificité du Groupe Courlancy, où près de la moitié des parts est détenue par un actionnariat médical, vient aussi, à mon sens, expliquer ce classement : les médecins sont au cœur du processus décisionnel, ce qui représente un atout indéniable pour la qualité des soins – un enjeu au cœur de notre démarche, tout comme la qualité du parcours patient est au cœur de nos réflexions.
Ces derniers mois, la polyclinique a joué un rôle actif dans la prise en charge des patients Covid+…
Bruno Leray : Effectivement, face à l’ampleur de la vague qui a touché notre région, nous avons très rapidement augmenté nos capacités de réanimation, passant de dix à 26 places. Cet effort a été couplé à la création d’un service d’urgences Covid+ et à la réservation d’une cinquantaine de place dans les unités de médecine pour ces patients.
Quels sont vos projets pour 2021 ?
Bruno Leray : Continuer de faire face à l’épidémie tout en évitant au maximum les déprogrammations est l’objectif principal de ce début d’année. Mais nous préparerons également l’avenir : nos équipes travailleront à la construction du projet médical pour les dix prochaines années, dans chaque spécialité. Nous analyserons pour cela les données régionales afin d’anticiper au mieux les évolutions à venir, et optimiser ainsi l’orientation de nos infrastructures.
Cet axe se matérialise déjà au sein de votre stratégie en matière d’innovations. Pouvez-vous nous en parler ?
Artus de Saint-Pern : Nous travaillons constamment avec les médecins pour identifier les innovations de leur spécialité, dans l’optique d’une prise en charge optimisée. Cela se traduit à la fois par une forte politique d’investissement dans des équipements de pointe, comme les robots chirurgicaux, mais aussi par des réflexions collégiales sur les parcours de soin coordonnés afin d’accompagner toujours mieux nos patients.
Bruno Leray : Continuer de faire face à l’épidémie tout en évitant au maximum les déprogrammations est l’objectif principal de ce début d’année. Mais nous préparerons également l’avenir : nos équipes travailleront à la construction du projet médical pour les dix prochaines années, dans chaque spécialité. Nous analyserons pour cela les données régionales afin d’anticiper au mieux les évolutions à venir, et optimiser ainsi l’orientation de nos infrastructures.
Cet axe se matérialise déjà au sein de votre stratégie en matière d’innovations. Pouvez-vous nous en parler ?
Artus de Saint-Pern : Nous travaillons constamment avec les médecins pour identifier les innovations de leur spécialité, dans l’optique d’une prise en charge optimisée. Cela se traduit à la fois par une forte politique d’investissement dans des équipements de pointe, comme les robots chirurgicaux, mais aussi par des réflexions collégiales sur les parcours de soin coordonnés afin d’accompagner toujours mieux nos patients.
Article publié dans le numéro de février d'Hospitalia à consulter ici.