Diffusé début décembre en télévision et dans les salles de cinéma, le film de la Fondation ARC est conçu comme un manifeste scandé par les chercheurs. « "Paroles de chercheurs "fait écho à la mission sociale de la fondation qui s’est engagée depuis 60 ans à soutenir la recherche en cancérologie, en étant au plus près des chercheurs, partout où naissent les espoirs de découvertes », déclare François Dupré, directeur général de la Fondation ARC.
Des individualités singulières, portées par la force du collectif et la volonté d’accélérer les découvertes parce que les patients attendent.
« C’est la pluralité des personnalités de la recherche que la Fondation ARC a souhaité mettre en scène afin de révéler au grand jour leurs motivations profondes. À présent nous avons à cœur d’apporter toute la lumière possible à notre film "Paroles de chercheurs" avec une diffusion ambitieuse pour le grand public », ajoute François Dupré. Une invitation à aller au-delà de la représentation archétypale de la science, pour découvrir les émotions, les luttes et l’optimisme de ces femmes et ces hommes qui portent chaque jour cette mission vitale.
Des individualités singulières, portées par la force du collectif et la volonté d’accélérer les découvertes parce que les patients attendent.
« C’est la pluralité des personnalités de la recherche que la Fondation ARC a souhaité mettre en scène afin de révéler au grand jour leurs motivations profondes. À présent nous avons à cœur d’apporter toute la lumière possible à notre film "Paroles de chercheurs" avec une diffusion ambitieuse pour le grand public », ajoute François Dupré. Une invitation à aller au-delà de la représentation archétypale de la science, pour découvrir les émotions, les luttes et l’optimisme de ces femmes et ces hommes qui portent chaque jour cette mission vitale.
Un film qui bouscule les codes
Pour traduire en images cette ambition, la Fondation ARC a fait appel par l’intermédiaire de l’agence Simone à la sensibilité de deux réalisateurs, Camille Hirigoyen et Julien Choquart, fondateurs du studio parisien indépendant J.A.C.K Studio, récompensés, entre autres aux Victoires de la musique pour les clips qu’ils ont réalisés pour le Groupe Christine and the Queens.
De cette collaboration inédite, résulte un film original et intimiste, loin des formats classiques institutionnels. Une création à l’esthétique minimaliste qui met en scène les visages, les corps et la voix des chercheurs dans un univers « studio » empruntant aux codes du portrait et de la beauté. Un choix surprenant, pour le moins inhabituel. Pour les réalisateurs, ce parti-pris était pourtant une évidence : un moyen de magnifier les chercheurs et d’engager les spectateurs dans une relation plus intimiste avec eux.
« En tant que réalisateurs, nous avons toujours eu à cœur de mettre en lumière ceux qui nous inspirent, qu’il s’agisse d’artistes ou de personnalités. Ce film est un portrait intime, traité avec poésie, où chaque geste et chaque mot sont des éléments de sublimation. Nous avons voulu diriger ces chercheurs avec bienveillance, en préservant leur naturel, leur authenticité. Ce projet est un hommage à leur travail et à leur dévouement, une façon de les mettre en lumière avec la même rigueur et sensibilité que nous mettons à sublimer tous ceux que nous avons la chance de filmer », expliquent Camille Hirigoyen et Julien Choquart.
Alexandra Sprung, la directrice associée de l’agence Simone qui après avoir conçu l’identité graphique de la Fondation ARC s’est vu confier celle du film, ajoute que « ce fut une expérience puissante de travailler à la conception de ce film dans la continuité du travail engagé sur le renouveau de la marque. »
De cette collaboration inédite, résulte un film original et intimiste, loin des formats classiques institutionnels. Une création à l’esthétique minimaliste qui met en scène les visages, les corps et la voix des chercheurs dans un univers « studio » empruntant aux codes du portrait et de la beauté. Un choix surprenant, pour le moins inhabituel. Pour les réalisateurs, ce parti-pris était pourtant une évidence : un moyen de magnifier les chercheurs et d’engager les spectateurs dans une relation plus intimiste avec eux.
« En tant que réalisateurs, nous avons toujours eu à cœur de mettre en lumière ceux qui nous inspirent, qu’il s’agisse d’artistes ou de personnalités. Ce film est un portrait intime, traité avec poésie, où chaque geste et chaque mot sont des éléments de sublimation. Nous avons voulu diriger ces chercheurs avec bienveillance, en préservant leur naturel, leur authenticité. Ce projet est un hommage à leur travail et à leur dévouement, une façon de les mettre en lumière avec la même rigueur et sensibilité que nous mettons à sublimer tous ceux que nous avons la chance de filmer », expliquent Camille Hirigoyen et Julien Choquart.
Alexandra Sprung, la directrice associée de l’agence Simone qui après avoir conçu l’identité graphique de la Fondation ARC s’est vu confier celle du film, ajoute que « ce fut une expérience puissante de travailler à la conception de ce film dans la continuité du travail engagé sur le renouveau de la marque. »
Un message d’espoir et un appel pour entendre les chercheurs
6 chercheurs ont accepté de jouer le jeu et de passer de l’ombre à la lumière, en devenant les héros de ce film : Corine Bertolotto (directrice de recherche au Centre Méditerranéen de médecine moléculaire), Frédéric Bard (directeur de recherche au CNRS de Marseille Provence-Alpes-Côte-d’Azur), Pierre Soubeyran (directeur de recherche à l’Institut Bergonié à Bordeaux), Jean-Philippe Girard (chercheur en biologie cellulaire au CNRS et directeur de l’Institut de pharmacologie et de biologie structurale de Toulouse), Jill Pilet (chercheuse à l’Institut Curie à Paris) et Claudia Pasqualini (chercheuse en oncologie pédiatrique à l’Institut Gustave Roussy). Face à la caméra de Camille Hirigoyen et Julien Choquart, ils expriment leurs espoirs et leur enthousiasme. On retient, parmi les phrases qui résonnent : « J’ai envie de sauver le monde » ; « Je suis pour fêter chaque mini-victoire car ce qu’on veut c’est continuer » ; « quand on trouve un traitement pour les patients, c’est le Graal ».
C’est ainsi le leitmotiv du film, qui se conclut sur une photo de famille réunissant les 6 chercheurs, pour illustrer la force du collectif, mais aussi sur un message d’espoir en forme d’appel au soutien : « Chercher c’est déjà soigner ».
« Notre intuition de travailler différemment et d’aller chercher une signature en termes de réalisation s’est avérée très stimulante pour tous les participants du projet. Il en résulte un film au tempérament résolument optimiste et intime qui donne envie de faire connaissance avec les chercheurs mis en scène. Nous poursuivons ainsi notre programme visant à édifier un nouvel imaginaire de la recherche, afin notamment de fortifier le lien entre les Français et les chercheurs essentiels pour les patients », conclut Laurence Michelena, directrice de la communication et de l’information de la Fondation ARC.
C’est ainsi le leitmotiv du film, qui se conclut sur une photo de famille réunissant les 6 chercheurs, pour illustrer la force du collectif, mais aussi sur un message d’espoir en forme d’appel au soutien : « Chercher c’est déjà soigner ».
« Notre intuition de travailler différemment et d’aller chercher une signature en termes de réalisation s’est avérée très stimulante pour tous les participants du projet. Il en résulte un film au tempérament résolument optimiste et intime qui donne envie de faire connaissance avec les chercheurs mis en scène. Nous poursuivons ainsi notre programme visant à édifier un nouvel imaginaire de la recherche, afin notamment de fortifier le lien entre les Français et les chercheurs essentiels pour les patients », conclut Laurence Michelena, directrice de la communication et de l’information de la Fondation ARC.
Le film « Paroles de chercheurs », d’une durée de 30 secondes, sera diffusé les deux premières semaines de décembre en TV sur des gros carrefours d’audience (heures du midi et prime time TF1, post 20h sur France TV).
Il sera aussi projeté, dans sa version longue (51 secondes) dans 2000 salles cinémas des réseaux Pathé et MK2 durant la 1re semaine de décembre.
Enfin, en digital : sur My TF1 Streaming en version 15 secondes, qui redirigera vers la chaine YouTube de la Fondation où seront intégrées les vidéos portraits.
Il sera aussi projeté, dans sa version longue (51 secondes) dans 2000 salles cinémas des réseaux Pathé et MK2 durant la 1re semaine de décembre.
Enfin, en digital : sur My TF1 Streaming en version 15 secondes, qui redirigera vers la chaine YouTube de la Fondation où seront intégrées les vidéos portraits.
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