Maîtriser l’impact environnemental du numérique en santé est à présent un enjeu incontournable du développement durable auquel le ministère des Solidarités et de la Santé a décidé de répondre.
Dans ce secteur où les technologies numériques sont une promesse de qualité des soins et d’efficience du système de santé et où le déploiement massif des technologies sur le terrain est à venir, la Délégation ministérielle au Numérique en Santé entend faire du numérique en santé un exemple de numérique responsable en proposant de concilier déploiement du numérique et responsabilité environnementale.
La cellule éthique de la Délégation s’est mobilisée avec la contribution du Syntec Numérique, de la FEIMA, du Cigref, du Shift Projet, de l’Institut du Numérique Responsable, de la DINUM, du groupe VYV, de la Société Française de Santé Digitale, d’OVH, du MiPih, de France Assos Santé, et de nombreux experts de la société civile, pour élaborer un rapport qui apporte ainsi la première déclinaison sectorielle de l’impact environnemental du numérique et propose trois principes d’action :
Dans ce secteur où les technologies numériques sont une promesse de qualité des soins et d’efficience du système de santé et où le déploiement massif des technologies sur le terrain est à venir, la Délégation ministérielle au Numérique en Santé entend faire du numérique en santé un exemple de numérique responsable en proposant de concilier déploiement du numérique et responsabilité environnementale.
La cellule éthique de la Délégation s’est mobilisée avec la contribution du Syntec Numérique, de la FEIMA, du Cigref, du Shift Projet, de l’Institut du Numérique Responsable, de la DINUM, du groupe VYV, de la Société Française de Santé Digitale, d’OVH, du MiPih, de France Assos Santé, et de nombreux experts de la société civile, pour élaborer un rapport qui apporte ainsi la première déclinaison sectorielle de l’impact environnemental du numérique et propose trois principes d’action :
- Une réflexion en profondeur sur nos besoins et une lutte contre toute forme de « numérique inutile ». C'est finalement moins la technologie en elle-même qui doit être questionnée que son emploi sous-optimisé, et parfois excessif, voire disproportionné, au vu des bénéfices recherchés (évaluation du rapport bénéfices / risques des services numériques de santé).
- La pertinence des soins (éco-soin)comme levier de sobriété numérique car elle entraine mécaniquement une diminution du recours aux services numériques.
- L’écoconception des services numériques de santé pour répondre aux besoins des utilisateurs, en utilisant le minimum de ressources informatiques et sans dégrader le service rendu, afin de minimiser l’impact sur l’environnement.
Un appel à s’engager et à agir sans tarder
Ce rapport s’inscrit en pleine cohérence avec la feuille de route « Numérique et environnement » du gouvernement, publiée le 23 février 2021, et recense un ensemble d’outils et de guides utilisables par les acteurs du secteur qui souhaitent s’engager dans des démarches écoresponsables.
Afin de concrétiser l’ambition de réduire l’impact environnemental du numérique en santé, le ministère des Solidarités et de la Santé appelle tous les acteurs du secteur (organismes, syndicats, institutions, agences, ARS, GRADeS, établissements de santé, professionnels de santé, industriels, éditeurs...) à s’engager et à agir sans tarder, pour contribuer à faire avancer la e-santé en France en répondant aux enjeux de demain.
« C’est ensemble et collectivement que nous devons faire évoluer nos comportements, alignés dans un objectif commun d’agir pour la planète », rappellent Laura Létourneau et Dominique Pon, déléguée et responsable à la Délégation ministérielle au Numérique en Santé.
> Cliquer ici pour découvrir l’intégralité du rapport et les recommandations d’actions.
Afin de concrétiser l’ambition de réduire l’impact environnemental du numérique en santé, le ministère des Solidarités et de la Santé appelle tous les acteurs du secteur (organismes, syndicats, institutions, agences, ARS, GRADeS, établissements de santé, professionnels de santé, industriels, éditeurs...) à s’engager et à agir sans tarder, pour contribuer à faire avancer la e-santé en France en répondant aux enjeux de demain.
« C’est ensemble et collectivement que nous devons faire évoluer nos comportements, alignés dans un objectif commun d’agir pour la planète », rappellent Laura Létourneau et Dominique Pon, déléguée et responsable à la Délégation ministérielle au Numérique en Santé.
> Cliquer ici pour découvrir l’intégralité du rapport et les recommandations d’actions.