Par l’observation des innovations du domaine, cette étude vise à analyser la chaîne de valeur de la médecine connectée, c’est-à-dire l’ensemble des activités interdépendantes sur ce secteur d’activité, la coordination des différents acteurs ainsi que leur capacité à former un réseau cohérent et collaboratif pour délivrer un service médical au travers des réseaux de communication.
La fonction transmission délaissée
L’analyse des solutions technologiques commercialisées par les industriels permet de souligner plusieurs tendances sur le marché de la médecine connectée. En premier lieu, il apparaît qu’au fil du temps, sur les 3 fonctions nécessaires à ce secteur d’activité, la fonction transmission est délaissée au profit des fonctions d’examen et de consultation. En réalité, elle est déléguée aux outils mobiles que les individus se sont appropriés par ailleurs, à savoir les Smartphones et dans une moindre mesure les tablettes.
Renforçant cette tendance, les industriels se recentrent, en ce qui concerne la fonction examen, sur des outils classiques de médecine rendus connectés en particulier via Bluetooth. On assiste également à une poussée des outils d’observation venant s’adapter sur les caméras des Smartphones et tablettes. Ces solutions n’ont par conséquent qu’un faible contenu technologique, et se reposent sur celles des appareils auxquels elles viennent s’adjoindre. Il ressort de cette analyse que, d’un point de vue technologique, les solutions commercialisées sont majoritairement peu innovantes, ont une faible barrière à l’entrée, ne démontrent que peu d’avantages concurrentiels et sont captifs des Smartphones.
Renforçant cette tendance, les industriels se recentrent, en ce qui concerne la fonction examen, sur des outils classiques de médecine rendus connectés en particulier via Bluetooth. On assiste également à une poussée des outils d’observation venant s’adapter sur les caméras des Smartphones et tablettes. Ces solutions n’ont par conséquent qu’un faible contenu technologique, et se reposent sur celles des appareils auxquels elles viennent s’adjoindre. Il ressort de cette analyse que, d’un point de vue technologique, les solutions commercialisées sont majoritairement peu innovantes, ont une faible barrière à l’entrée, ne démontrent que peu d’avantages concurrentiels et sont captifs des Smartphones.
Des fonctions technologiques qui varient selon les pathologies
D’un point de vue médical, les industriels se tournent vers des solutions dédiées à des spécialités médicales précises et s’éloignent des solutions généralistes. La médecine connectée propose également de nouveaux modes de prises en charge des patients, faisant la part belle au monitoring de paramètres vitaux en décalage avec les modes de financement de la santé qui favorisent de leur côté la relation patientmédecin sous forme de consultations.
Enfin le rapport se termine sur une analyse de cas qui montre que non seulement le type de solution, mais aussi les fonctions mises en œuvre dans la prise en charge de pathologies par la médecine connectée, varient en fonction de la dite pathologie. Dans la même lignée, il est montré des variations d’offre technologique en fonction des pays producteurs de ces solutions.
Les informations qui ont permis d’établir ce rapport sont issues des bases de données établies par la société Linkidoc depuis 2014, données à l’origine du moteur de recherche www.linkedoc.fr.
L'analyse porte sur 583 solutions technologiques commercialisées par 289 entreprises dans le monde. Les informations proviennent aussi des échanges fréquents avec les agences réglementaires, les industriels du secteur, les professionnels de santé et enfin de recherches bibliographiques et de veilles effectuées dans la presse nationale.
À consulter sur www.idoc.link
Enfin le rapport se termine sur une analyse de cas qui montre que non seulement le type de solution, mais aussi les fonctions mises en œuvre dans la prise en charge de pathologies par la médecine connectée, varient en fonction de la dite pathologie. Dans la même lignée, il est montré des variations d’offre technologique en fonction des pays producteurs de ces solutions.
Les informations qui ont permis d’établir ce rapport sont issues des bases de données établies par la société Linkidoc depuis 2014, données à l’origine du moteur de recherche www.linkedoc.fr.
L'analyse porte sur 583 solutions technologiques commercialisées par 289 entreprises dans le monde. Les informations proviennent aussi des échanges fréquents avec les agences réglementaires, les industriels du secteur, les professionnels de santé et enfin de recherches bibliographiques et de veilles effectuées dans la presse nationale.
À consulter sur www.idoc.link
À propos
La société Linkidoc accompagne des startup innovantes en médecine connectée dans le marketing de leurs technologies et les conseille dans la construction de leurs projets (stratégie de développement, décryptage du marché, préfiguration des mutations...) en réalisant des études de marché, publiant des analyses sectorielles, pilotant des projets de déploiement, proposant des formations.