Laurent Faroux et Thierry Blanpain, vous êtes respectivement cardiologue interventionnel et manipulateur en électroradiologie au CHU de Reims. Quels sont, à votre sens, les principaux apports de la solution RDM ?
Thierry Blanpain : Déployé en 2015, ce logiciel s’est traduit par une réelle valeur ajoutée au quotidien pour l’activité clinique de cardiologie interventionnelle, en particulier sur le champ de la radioprotection. Son utilisation est en effet aisée et s’effectue en lien direct avec les installations radiologiques. Le transfert de données se fait dès lors automatiquement : chaque patient étant référencé dans le DACS RDM, nous pouvons visualiser à tout moment la dose subie sur plusieurs examens, quel que soit le site où il a été pris en charge.
Dr Laurent Faroux : La solution RDM s’est également révélée être un outil fantastique pour la recherche clinique. Elle collige en effet tout un ensemble d’informations utiles pour chaque examen, par exemple le temps de scopie, l’air kerma ou encore le produit dose surface (PDS). Une utilisation plus poussée permet par ailleurs d’obtenir des données coup de pédale par coup de pédale en terme de scopie, avec la position exacte du tube, de la table et du capteur plan. Ce sont autant d’éléments qui nous permettent d’affiner nos explorations !
Cédric Desmonts, vous êtes physicien médical au CHU de Caen. Quel bilan tirez-vous après un an d’utilisation du DACS RDM ?
Cédric Desmonts : Avant l’arrivée de cet outil, la prise en compte de la radioprotection était souvent liée à des initiatives individuelles. Dotée d’une interface fiable et intuitive, la solution RDM a permis de développer une vraie culture de radioprotection à l’échelle de notre établissement. Elle a en outre considérablement simplifié la gestion de la dosimétrie, ce qui s’est traduit par de meilleures relations entre le service de physique médicale et les équipes soignantes pour porter ensemble des projets sur le long terme. Nous avons par exemple pu mettre en œuvre un suivi renforcé des patients en radiologie interventionnelle afin de mieux prévenir l’apparition des effets déterministes, mais aussi instaurer des niveaux de références locaux pour les services de scanners et les actes de radiologie interventionnels. Rapide à installer et totalement transparent pour les utilisateurs, le DACS RDM nous satisfait donc pleinement.
Romain Popoff, vous êtes pour votre part physicien médical au Centre Georges-François Leclerc (CGFL), où le logiciel RDM a été déployé il y a un an et demi. Quel est votre verdict ?
Romain Popoff : Principalement utilisée par les manipulateurs en radiologie au scanner, cette solution est incontestablement source de valeur ajoutée pour notre établissement : elle favorise la radioprotection du patient grâce à une approche automatisée qui facilite l’accès aux données pertinentes. Le DACS RDM a en outre simplifié nos pratiques, tout en favorisant l’harmonisation des protocoles, tant pour les scanners que pour la médecine nucléaire – où il facilite par ailleurs la collecte des niveaux de référence diagnostiques transmis à l’IRSN. Ce logiciel apporte donc de nombreux bénéfices visibles après seulement un an et demi d’utilisation.
Plus d’informations : https://www.medsquare.com/fr/
Thierry Blanpain : Déployé en 2015, ce logiciel s’est traduit par une réelle valeur ajoutée au quotidien pour l’activité clinique de cardiologie interventionnelle, en particulier sur le champ de la radioprotection. Son utilisation est en effet aisée et s’effectue en lien direct avec les installations radiologiques. Le transfert de données se fait dès lors automatiquement : chaque patient étant référencé dans le DACS RDM, nous pouvons visualiser à tout moment la dose subie sur plusieurs examens, quel que soit le site où il a été pris en charge.
Dr Laurent Faroux : La solution RDM s’est également révélée être un outil fantastique pour la recherche clinique. Elle collige en effet tout un ensemble d’informations utiles pour chaque examen, par exemple le temps de scopie, l’air kerma ou encore le produit dose surface (PDS). Une utilisation plus poussée permet par ailleurs d’obtenir des données coup de pédale par coup de pédale en terme de scopie, avec la position exacte du tube, de la table et du capteur plan. Ce sont autant d’éléments qui nous permettent d’affiner nos explorations !
Cédric Desmonts, vous êtes physicien médical au CHU de Caen. Quel bilan tirez-vous après un an d’utilisation du DACS RDM ?
Cédric Desmonts : Avant l’arrivée de cet outil, la prise en compte de la radioprotection était souvent liée à des initiatives individuelles. Dotée d’une interface fiable et intuitive, la solution RDM a permis de développer une vraie culture de radioprotection à l’échelle de notre établissement. Elle a en outre considérablement simplifié la gestion de la dosimétrie, ce qui s’est traduit par de meilleures relations entre le service de physique médicale et les équipes soignantes pour porter ensemble des projets sur le long terme. Nous avons par exemple pu mettre en œuvre un suivi renforcé des patients en radiologie interventionnelle afin de mieux prévenir l’apparition des effets déterministes, mais aussi instaurer des niveaux de références locaux pour les services de scanners et les actes de radiologie interventionnels. Rapide à installer et totalement transparent pour les utilisateurs, le DACS RDM nous satisfait donc pleinement.
Romain Popoff, vous êtes pour votre part physicien médical au Centre Georges-François Leclerc (CGFL), où le logiciel RDM a été déployé il y a un an et demi. Quel est votre verdict ?
Romain Popoff : Principalement utilisée par les manipulateurs en radiologie au scanner, cette solution est incontestablement source de valeur ajoutée pour notre établissement : elle favorise la radioprotection du patient grâce à une approche automatisée qui facilite l’accès aux données pertinentes. Le DACS RDM a en outre simplifié nos pratiques, tout en favorisant l’harmonisation des protocoles, tant pour les scanners que pour la médecine nucléaire – où il facilite par ailleurs la collecte des niveaux de référence diagnostiques transmis à l’IRSN. Ce logiciel apporte donc de nombreux bénéfices visibles après seulement un an et demi d’utilisation.
Plus d’informations : https://www.medsquare.com/fr/