Quels sont, aujourd’hui, les principaux prérequis en matière de salles blanches ?
Arthur Josien : J’en retiendrai plus particulièrement deux. D’une part, une nettoyabilité élevée, qui impose la présence de surfaces lisses n’offrant aucune prise à la rétention particulaire. Et d’autre part, une atmosphère intérieure contrôlée, ce qui nécessite une conception hermétique et étanche. Ce sont autant d’enjeux que nous maîtrisons à travers un large éventail de solutions techniques complexes (cloisons, plafonds, portes, sas, etc.), adaptables aux spécificités locales, que nous imaginons, produisons et installons nous-mêmes. C’est là un atout de taille, qui participe à la renommée de nos produits car il est à la fois gage de qualité et de réactivité.
Dagard a, aujourd’hui, plusieurs centaines de réalisations à son actif, dans des hôpitaux français comme dans le reste du monde.
Nous avons en effet acquis une réelle expertise sur ce champ, ce qui nous permet de guider le choix des maîtres d’œuvre dès les premières phases d’un projet. En ce qui concerne par exemple les blocs opératoires, nous connaissons bien les exigences des chirurgiens en matière d’agencements internes. Nous savons aussi que le bionettoyage d’une salle est une opération longue et complexe, qui doit avoir été anticipée dès la conception pour ne pas alourdir le quotidien déjà chargé des agents hospitaliers. Ces principes sont ainsi au cœur du Nouvel Hôpital de Reims, un programme ambitieux dans le cadre duquel nous installons 23 blocs opératoires. Travaillant en collaboration étroite avec l’architecte et le constructeur, nous avons notamment pu démontrer notre savoir-faire en matière de gestion de projet. Le chantier est d’ailleurs dans sa dernière phase et, une fois la mise à blanc effectuée, les nouveaux blocs devraient pouvoir être réceptionnés début 2024.
Plus d'infos sur https://www.dagard.com/
Arthur Josien : J’en retiendrai plus particulièrement deux. D’une part, une nettoyabilité élevée, qui impose la présence de surfaces lisses n’offrant aucune prise à la rétention particulaire. Et d’autre part, une atmosphère intérieure contrôlée, ce qui nécessite une conception hermétique et étanche. Ce sont autant d’enjeux que nous maîtrisons à travers un large éventail de solutions techniques complexes (cloisons, plafonds, portes, sas, etc.), adaptables aux spécificités locales, que nous imaginons, produisons et installons nous-mêmes. C’est là un atout de taille, qui participe à la renommée de nos produits car il est à la fois gage de qualité et de réactivité.
Dagard a, aujourd’hui, plusieurs centaines de réalisations à son actif, dans des hôpitaux français comme dans le reste du monde.
Nous avons en effet acquis une réelle expertise sur ce champ, ce qui nous permet de guider le choix des maîtres d’œuvre dès les premières phases d’un projet. En ce qui concerne par exemple les blocs opératoires, nous connaissons bien les exigences des chirurgiens en matière d’agencements internes. Nous savons aussi que le bionettoyage d’une salle est une opération longue et complexe, qui doit avoir été anticipée dès la conception pour ne pas alourdir le quotidien déjà chargé des agents hospitaliers. Ces principes sont ainsi au cœur du Nouvel Hôpital de Reims, un programme ambitieux dans le cadre duquel nous installons 23 blocs opératoires. Travaillant en collaboration étroite avec l’architecte et le constructeur, nous avons notamment pu démontrer notre savoir-faire en matière de gestion de projet. Le chantier est d’ailleurs dans sa dernière phase et, une fois la mise à blanc effectuée, les nouveaux blocs devraient pouvoir être réceptionnés début 2024.
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