Les relations entre la santé des Hommes, la santé des animaux domestiques et sauvages, la santé des plantes et l’environnement sont intimement liées, comme la crise sanitaire de la COVID-19 est venue le rappeler avec force. Communément appelée « une seule santé » ou « One Health », cette approche globale et transversale est encore aujourd’hui trop peu connue et intégrée dans la stratégie des entreprises mais également au sein de la fonction publique.
Pour cette raison, les ministères en charge de l’agriculture, de la santé et de l’écologie ont soutenu - dans le cadre de la stratégie d’accélération MIE-MN (Maladies Infectieuses Emergentes et Menaces Nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques) de France 2030 - la création d’un « institut One Health » appelé à devenir l’organisme de référence pour la formation et la sensibilisation des décideurs publics et privés à la démarche « une seule santé ». Adossé à l’Ecole universitaire de recherche EID@Lyon et portée par l’Université Lyon 1, l’institut s’appuiera sur un catalogue innovant de formations, à la fois interdisciplinaires et intersectorielles, proposées par 3 grandes écoles : VetAgro Sup, en particulier son école interne l’ENSV-FVI, AgroParisTech et l’EHESP , dans l’esprit d’« une seule santé ».
A la croisée de la médecine humaine, de la médecine vétérinaire, des sciences de l’environnement et des sciences sociales, ces formations doivent permettre aux décideurs publics et privés de mieux prévenir et gérer les crises à venir.
Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, déclare : « La poursuite du rapprochement des acteurs impliqués dans la santé humaine, la santé animale et la protection de l'environnement est un objectif important de mon ministère. C'est une démarche interdisciplinaire que nous touchons du doigt tous les jours et qui démontre l'importance de créer des ponts entre les acteurs pour répondre aux enjeux globaux qui nous aideront à construire collectivement des politiques publiques plus efficaces dans le domaine de la santé. Le lancement de cet institut One Health représente un momentum sur lequel nous avons le devoir de nous appuyer pour avancer davantage. »
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, indique : « Parce que la qualité de l'environnement qui nous entoure et la santé des animaux avec lesquels nous vivons conditionnent directement notre santé, il est fondamental d'adopter une vision globale de ces enjeux. C'est ce que propose l'approche "One Health", en lien avec le plan national santé-environnement que porte le gouvernement. Aussi, je souhaite que ce nouvel institut contribue activement à la sensibilisation et la formation des décideurs du pays, pour qu'ils intègrent pleinement ces problématiques dans leurs actions futures, et ainsi contribuent à réaliser un monde plus sain.»
Agnès Firmin le Bodo, ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé ajoute : « L’environnement constitue aujourd’hui la deuxième préoccupation des Français. En effet, alors que nous sommes d’ores et déjà capable de démontrer notre méthode, les résultats concrets que nous engageons ne sont pas connus de tous. C’est collectivement que nous devons construire la méthode One Health et l’institution que nous créons aujourd’hui a pour vocation d’insuffler au plus grand nombre de décideurs de notre pays les principes et les modalités d’actions « One Health. »
Pour cette raison, les ministères en charge de l’agriculture, de la santé et de l’écologie ont soutenu - dans le cadre de la stratégie d’accélération MIE-MN (Maladies Infectieuses Emergentes et Menaces Nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques) de France 2030 - la création d’un « institut One Health » appelé à devenir l’organisme de référence pour la formation et la sensibilisation des décideurs publics et privés à la démarche « une seule santé ». Adossé à l’Ecole universitaire de recherche EID@Lyon et portée par l’Université Lyon 1, l’institut s’appuiera sur un catalogue innovant de formations, à la fois interdisciplinaires et intersectorielles, proposées par 3 grandes écoles : VetAgro Sup, en particulier son école interne l’ENSV-FVI, AgroParisTech et l’EHESP , dans l’esprit d’« une seule santé ».
A la croisée de la médecine humaine, de la médecine vétérinaire, des sciences de l’environnement et des sciences sociales, ces formations doivent permettre aux décideurs publics et privés de mieux prévenir et gérer les crises à venir.
Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, déclare : « La poursuite du rapprochement des acteurs impliqués dans la santé humaine, la santé animale et la protection de l'environnement est un objectif important de mon ministère. C'est une démarche interdisciplinaire que nous touchons du doigt tous les jours et qui démontre l'importance de créer des ponts entre les acteurs pour répondre aux enjeux globaux qui nous aideront à construire collectivement des politiques publiques plus efficaces dans le domaine de la santé. Le lancement de cet institut One Health représente un momentum sur lequel nous avons le devoir de nous appuyer pour avancer davantage. »
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, indique : « Parce que la qualité de l'environnement qui nous entoure et la santé des animaux avec lesquels nous vivons conditionnent directement notre santé, il est fondamental d'adopter une vision globale de ces enjeux. C'est ce que propose l'approche "One Health", en lien avec le plan national santé-environnement que porte le gouvernement. Aussi, je souhaite que ce nouvel institut contribue activement à la sensibilisation et la formation des décideurs du pays, pour qu'ils intègrent pleinement ces problématiques dans leurs actions futures, et ainsi contribuent à réaliser un monde plus sain.»
Agnès Firmin le Bodo, ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé ajoute : « L’environnement constitue aujourd’hui la deuxième préoccupation des Français. En effet, alors que nous sommes d’ores et déjà capable de démontrer notre méthode, les résultats concrets que nous engageons ne sont pas connus de tous. C’est collectivement que nous devons construire la méthode One Health et l’institution que nous créons aujourd’hui a pour vocation d’insuffler au plus grand nombre de décideurs de notre pays les principes et les modalités d’actions « One Health. »