Une mobilisation en forte hausse
Cette édition a mobilisé 947 établissements et services volontaires, soit un nombre de structures répondantes multiplié par deux par rapport à la campagne précédente (contre 426 en 2017). Le secteur médico-social est également plus largement représenté avec 43 % de répondants (contre seulement 29 % en 2017).
Les résultats tirés de cette nouvelle campagne sont présentés dans le rapport « Mon observatoire du développement durable » accessible sur anap.fr. Ils permettent d’identifier un certain nombre de tendances relatives à la maturité des établissements :
Avec un nombre de répondants doublé, la campagne 2018 apparait plus représentative et traduit donc des réalités plus hétérogènes en fonction de la nature et de la taille de l’établissement concerné. Les structures manifestent globalement un intérêt croissant pour ces questions mais ne parviennent pas toujours à s’en emparer dans le cadre d’une démarche formalisée. Le rapport propose ainsi des pistes d’action graduées pour aider ces structures à sauter le pas :
Les résultats tirés de cette nouvelle campagne sont présentés dans le rapport « Mon observatoire du développement durable » accessible sur anap.fr. Ils permettent d’identifier un certain nombre de tendances relatives à la maturité des établissements :
- « La maturité sur les enjeux sociétaux – et dans une moindre mesure sociaux – est la plus élevée (taux médian* à 50%) ». Les enjeux de qualité de vie au travail sont identifiés par une grande majorité des structures répondantes.
- Le volet économique passe de 35 % l’année dernière à 44 % de taux médian. Les enjeux d’achats durables se consolident.
- Le volet environnemental témoigne d’évolutions disparates (taux médian de 30 %). Si les structures ont déclaré un plus fort recours aux énergies renouvelables et ont globalement engagé une politique de diminution de leur consommation totale d’énergie, elles témoignent également de leur difficulté à suivre les politiques menées dans ce domaine.
- Le volet gouvernance. Même si elles sont de plus en plus conscientes des enjeux associés, les structures peinent encore à intégrer, à formaliser et à suivre les impacts environnementaux, sociaux et sociétaux dans leurs démarches et procédures internes (31% de maturité globale).
Avec un nombre de répondants doublé, la campagne 2018 apparait plus représentative et traduit donc des réalités plus hétérogènes en fonction de la nature et de la taille de l’établissement concerné. Les structures manifestent globalement un intérêt croissant pour ces questions mais ne parviennent pas toujours à s’en emparer dans le cadre d’une démarche formalisée. Le rapport propose ainsi des pistes d’action graduées pour aider ces structures à sauter le pas :
- réaliser une première phase d’état des lieux et de diagnostic en comparant la structure aux établissements du même secteur et de même taille et identifier les parties prenantes à la démarche ;
- intégrer les axes prioritaires du diagnostic dans leurs engagements stratégiques et les associer éventuellement à des indicateurs de suivi ;
- identifier et former les personnes ressource en interne sur ces questions et soutenir les initiatives des professionnels en la matière ;
- évaluer ponctuellement plusieurs indices de consommation (déchets, eau, énergie notamment) et mettre si possible en place une véritable démarche d’évaluation annuelle de ces résultats à l’aide d’indicateurs de suivi.
En 2019, la troisième campagne des données de « Mon observatoire du développement durable » permettra d’évaluer la poursuite de la dynamique des structures concernées sur les différents volets prévus dans la convention.