Le nouveau PACS de Sectra est en production depuis le mois de juin. Quel regard portez-vous aujourd’hui sur le processus de déploiement ?
Dr Grégoire Bornet : L’installation de ce PACS transversal s’est particulièrement bien passée : les différentes opérations se sont enchaînées de manière fluide, la mise en œuvre a été transparente pour les utilisateurs, et le démarrage s’est effectué sans heurts. Surtout, notre centre d’imagerie médicale a pu continuer de fonctionner à flux tendus sans réduire sa production. Il n’y a donc eu aucune perte d’activité pour l’établissement – ni impact sur ses finances – et surtout aucune incidence sur la qualité, la sécurité et la continuité des soins. C’est là un véritable exploit, qui gagne à être souligné. L’Hôpital Privé d’Antony investit en effet régulièrement dans des équipements de pointe. Nous savons donc que tout déploiement peut apporter son lot de surprises. Or nous n’avons constaté ici aucune difficulté particulière – bien au contraire !
Dr Julien Cazejust : Le déploiement a en outre été mené dans les délais impartis, qui étaient eux-mêmes extrêmement courts – moins de six mois se sont en effet écoulés entre le choix du nouveau PACS et sa mise en production. Pourtant, notre expérience nous avait préparé aux dépassements de plannings, souvent considérés comme inévitables. Les équipes de Sectra ont fait preuve d’une efficacité remarquable dans le respect du calendrier : la planification du démarrage n’a laissé aucune place au hasard, et le jour de la mise en route, les patients ne se sont absolument pas rendus compte de ce qui se préparait.
Sébastien Durand : Il faut dire que tous les besoins avaient été admirablement anticipés en amont. Les échanges étaient en effet quasi-quotidiens entre les équipes de Sectra et nos équipes informatiques, ce qui a permis d’apporter rapidement les ajustements nécessaires. Ce dialogue constructif a participé à la dynamique d’ensemble, y compris lorsqu’il s’est agit d’impliquer nos autres partenaires – notamment les éditeurs du Dossier Patient Informatisé et du RIS, avec lesquels le nouveau PACS interagit désormais parfaitement. Signalons également que Sectra, qui s’était engagé à rapatrier deux années d’antériorités, l’a effectué avec une précision chirurgicale dans les délais impartis. Or un certain nombre de nos voisins ont rencontré des difficultés sur ce point précis – avec certes d’autres constructeurs. Nous avons donc été, une fois de plus, très agréablement surpris.
Comment ce PACS de nouvelle génération a-t-il été accueilli par les radiologues ?
Dr Grégoire Bornet : La prise en main a été immédiate. Les radiologues avaient, naturellement, été associés à la sélection du nouveau PACS. Nous étions donc confiants, mais cette adoption rapide a conforté notre choix. Les praticiens sont d’ailleurs unanimes : en matière de maniement, d’ergonomie et d’usage, le PACS de Sectra est largement supérieur à notre outil précédent.
Dr Julien Cazejust : Chaque médecin avait bénéficié d’une formation individuelle, environ trois semaines avant le démarrage. Il y a donc eu un certain délai de latence entre la découverte des différentes fonctionnalités, et leur utilisation en pratique réelle. Pourtant, le jour de la mise en production, aucun retard n’a été constaté sur l’interprétation des images et l’édition des comptes-rendus. Le nouveau PACS est en effet particulièrement intuitif, d’autant que Sectra a été à notre écoute pour affiner certaines présentations et renforcer l’ergonomie globale de son outil.
Sébastien Durand : Les équipes de Sectra ont également été très présentes auprès de nos propres équipes informatiques et techniques : elles ont formé des référents techniques, ce qui nous permet d’avoir véritablement la main sur notre nouveau PACS – c’est là un réel gage de sérénité. Cela dit, elles restent disponibles et aisément joignables : un dimanche à la fin de l’été, nous avions été confrontés à une coupure générale de courant, qui a déconnecté le PACS. Il a été rétabli en quelques minutes par le service technique de Sectra, qui nous a ainsi donné des preuves concrètes de sa réactivité.
Quelles seront les prochaines étapes ?
Sébastien Durand : Nous avons désormais finalisé le déploiement sur les différents sites rattachés à l’Hôpital Privé d’Antony – soit le Centre Olympe Santé Sport, distant d’une centaine de mètres, et le site de Melun, à quelques 40 km : quel que soit le lieu d’acquisition des images, elles peuvent désormais être lues et interprétées à travers un seul et même PACS, en toute transparence.
Dr Julien Cazejust : Nous souhaitons désormais nous appuyer sur ce nouveau PACS pour diffuser aux prescripteurs et aux patients les images et comptes-rendus associés et renforcer ainsi le lien ville-hôpital. Nous réaffirmerons également notre ancrage territorial en développant une offre de télé-radiologie à destination d’établissements en tension – ce sera d’ailleurs prochainement le cas d’un centre SSR voisin.
Dr Grégoire Bornet : Sur le plan technique, nous attendons le déploiement de logiciels de post-traitement avancé et d’un outil de dosimétrie directement sur le PACS de Sectra, de manière à disposer d’une solution mono-technologique complète. Les équipes de Sectra peuvent, ici, mettre à profit notre expertise médicale, dans une démarche gagnant-gagnant. Il faut dire que nous maintenons des échanges quasi-quotidiens. C’est là un réel atout pour réfléchir ensemble aux évolutions techniques les plus pertinentes. Ce partenariat fait d’ailleurs écho à un engagement au cœur de la stratégie de l’HPA, qui s’est toujours attaché à sélectionner les solutions les plus à la pointe, y compris dans le cadre de premières mondiales. Nous faisons partie aujourd’hui des premiers sites français à nous être équipés du PACS Sectra qui a assurément tenu ses promesses !
Plus d'informations : https://sectra.com
Dr Grégoire Bornet : L’installation de ce PACS transversal s’est particulièrement bien passée : les différentes opérations se sont enchaînées de manière fluide, la mise en œuvre a été transparente pour les utilisateurs, et le démarrage s’est effectué sans heurts. Surtout, notre centre d’imagerie médicale a pu continuer de fonctionner à flux tendus sans réduire sa production. Il n’y a donc eu aucune perte d’activité pour l’établissement – ni impact sur ses finances – et surtout aucune incidence sur la qualité, la sécurité et la continuité des soins. C’est là un véritable exploit, qui gagne à être souligné. L’Hôpital Privé d’Antony investit en effet régulièrement dans des équipements de pointe. Nous savons donc que tout déploiement peut apporter son lot de surprises. Or nous n’avons constaté ici aucune difficulté particulière – bien au contraire !
Dr Julien Cazejust : Le déploiement a en outre été mené dans les délais impartis, qui étaient eux-mêmes extrêmement courts – moins de six mois se sont en effet écoulés entre le choix du nouveau PACS et sa mise en production. Pourtant, notre expérience nous avait préparé aux dépassements de plannings, souvent considérés comme inévitables. Les équipes de Sectra ont fait preuve d’une efficacité remarquable dans le respect du calendrier : la planification du démarrage n’a laissé aucune place au hasard, et le jour de la mise en route, les patients ne se sont absolument pas rendus compte de ce qui se préparait.
Sébastien Durand : Il faut dire que tous les besoins avaient été admirablement anticipés en amont. Les échanges étaient en effet quasi-quotidiens entre les équipes de Sectra et nos équipes informatiques, ce qui a permis d’apporter rapidement les ajustements nécessaires. Ce dialogue constructif a participé à la dynamique d’ensemble, y compris lorsqu’il s’est agit d’impliquer nos autres partenaires – notamment les éditeurs du Dossier Patient Informatisé et du RIS, avec lesquels le nouveau PACS interagit désormais parfaitement. Signalons également que Sectra, qui s’était engagé à rapatrier deux années d’antériorités, l’a effectué avec une précision chirurgicale dans les délais impartis. Or un certain nombre de nos voisins ont rencontré des difficultés sur ce point précis – avec certes d’autres constructeurs. Nous avons donc été, une fois de plus, très agréablement surpris.
Comment ce PACS de nouvelle génération a-t-il été accueilli par les radiologues ?
Dr Grégoire Bornet : La prise en main a été immédiate. Les radiologues avaient, naturellement, été associés à la sélection du nouveau PACS. Nous étions donc confiants, mais cette adoption rapide a conforté notre choix. Les praticiens sont d’ailleurs unanimes : en matière de maniement, d’ergonomie et d’usage, le PACS de Sectra est largement supérieur à notre outil précédent.
Dr Julien Cazejust : Chaque médecin avait bénéficié d’une formation individuelle, environ trois semaines avant le démarrage. Il y a donc eu un certain délai de latence entre la découverte des différentes fonctionnalités, et leur utilisation en pratique réelle. Pourtant, le jour de la mise en production, aucun retard n’a été constaté sur l’interprétation des images et l’édition des comptes-rendus. Le nouveau PACS est en effet particulièrement intuitif, d’autant que Sectra a été à notre écoute pour affiner certaines présentations et renforcer l’ergonomie globale de son outil.
Sébastien Durand : Les équipes de Sectra ont également été très présentes auprès de nos propres équipes informatiques et techniques : elles ont formé des référents techniques, ce qui nous permet d’avoir véritablement la main sur notre nouveau PACS – c’est là un réel gage de sérénité. Cela dit, elles restent disponibles et aisément joignables : un dimanche à la fin de l’été, nous avions été confrontés à une coupure générale de courant, qui a déconnecté le PACS. Il a été rétabli en quelques minutes par le service technique de Sectra, qui nous a ainsi donné des preuves concrètes de sa réactivité.
Quelles seront les prochaines étapes ?
Sébastien Durand : Nous avons désormais finalisé le déploiement sur les différents sites rattachés à l’Hôpital Privé d’Antony – soit le Centre Olympe Santé Sport, distant d’une centaine de mètres, et le site de Melun, à quelques 40 km : quel que soit le lieu d’acquisition des images, elles peuvent désormais être lues et interprétées à travers un seul et même PACS, en toute transparence.
Dr Julien Cazejust : Nous souhaitons désormais nous appuyer sur ce nouveau PACS pour diffuser aux prescripteurs et aux patients les images et comptes-rendus associés et renforcer ainsi le lien ville-hôpital. Nous réaffirmerons également notre ancrage territorial en développant une offre de télé-radiologie à destination d’établissements en tension – ce sera d’ailleurs prochainement le cas d’un centre SSR voisin.
Dr Grégoire Bornet : Sur le plan technique, nous attendons le déploiement de logiciels de post-traitement avancé et d’un outil de dosimétrie directement sur le PACS de Sectra, de manière à disposer d’une solution mono-technologique complète. Les équipes de Sectra peuvent, ici, mettre à profit notre expertise médicale, dans une démarche gagnant-gagnant. Il faut dire que nous maintenons des échanges quasi-quotidiens. C’est là un réel atout pour réfléchir ensemble aux évolutions techniques les plus pertinentes. Ce partenariat fait d’ailleurs écho à un engagement au cœur de la stratégie de l’HPA, qui s’est toujours attaché à sélectionner les solutions les plus à la pointe, y compris dans le cadre de premières mondiales. Nous faisons partie aujourd’hui des premiers sites français à nous être équipés du PACS Sectra qui a assurément tenu ses promesses !
Plus d'informations : https://sectra.com