Pouvez-vous nous présenter rapidement Medicus AI et Roche Diagnostics France ?
Jules Caput : Medicus AI, une start-up autrichienne implantée en France depuis plusieurs années, développe des solutions intelligentes pour venir en aide au patient, en lui permettant notamment de mieux comprendre ses comptes-rendus médicaux et de bénéficier de conseils adaptés à sa situation.
Eudes de Villiers : Roche Diagnostics France est pour sa part une filiale du groupe Roche. Elle produit et délivre des services innovants en biologie médicale à destination de tous les professionnels en charge du diagnostic, mais travaille également à l’amélioration de la prise en charge des patients et des informations qui leur sont délivrées.
Pourquoi avoir décidé de vous associer pour la 2ème édition du Biologiste Augmenté ?
Eudes de Villiers : Roche Diagnostics France s’interroge depuis longtemps sur la place des biologistes médicaux au sein du monde de la santé aujourd’hui et sur leur positionnement demain. Nous avons déjà mené des études sur ce sujet, il était donc normal qu’une publication comme Le Biologiste Augmentéait retenu notre attention. La grande complémentarité de nos offres a elle aussi rendu ce partenariat évident.
Jules Caput : Medicus AI, une start-up autrichienne implantée en France depuis plusieurs années, développe des solutions intelligentes pour venir en aide au patient, en lui permettant notamment de mieux comprendre ses comptes-rendus médicaux et de bénéficier de conseils adaptés à sa situation.
Eudes de Villiers : Roche Diagnostics France est pour sa part une filiale du groupe Roche. Elle produit et délivre des services innovants en biologie médicale à destination de tous les professionnels en charge du diagnostic, mais travaille également à l’amélioration de la prise en charge des patients et des informations qui leur sont délivrées.
Pourquoi avoir décidé de vous associer pour la 2ème édition du Biologiste Augmenté ?
Eudes de Villiers : Roche Diagnostics France s’interroge depuis longtemps sur la place des biologistes médicaux au sein du monde de la santé aujourd’hui et sur leur positionnement demain. Nous avons déjà mené des études sur ce sujet, il était donc normal qu’une publication comme Le Biologiste Augmentéait retenu notre attention. La grande complémentarité de nos offres a elle aussi rendu ce partenariat évident.
Eudes de Villiers, responsable de l'Engagement client et du Marketing digital chez Roche Diagnostics France.
Medicus AI avait sorti, l’an dernier, une première édition du Biologiste Augmenté. Avez-vous modifié votre méthodologie pour ce nouvel opus ?
Jules Caput : Notre approche est effectivement un peu différente cette année. Alors que pour la première édition, nous nous étions concentrés sur les biologistes médicaux, nous avons voulu ici élargir le spectre à d’autres acteurs du secteur, les industriels, les médecins, les assureurs… Nous pouvons ainsi offrir une vision plus large des dynamiques à l’œuvre dans le monde de la santé, qui s’est déjà fortement transformé suite à la crise sanitaire.
Cette nouvelle publication ne fera donc pas l’impasse sur la crise. Quels sont à votre sens les enseignements de cette période ?
Jules Caput : Sans dévoiler notre synthèse globale, il est certain que la pandémie a eu un impact fort sur l’ensemble des acteurs de santé. En quelques semaines, les biologistes sont par exemple passés d’une position quelque peu en retrait à un rôle de premier plan. Ils ont donc dû modifier leurs pratiques pour répondre au mieux à la situation, en développant notamment leur utilisation des outils numériques.
Eudes de Villiers : On dit souvent que les professionnels du diagnostic sont les acteurs silencieux de la chaîne de soin. Tous ceux avec lesquels nous nous sommes entretenus pour cette nouvelle édition du Biologiste Augmenté s’accordent pour reconnaître que les choses ont changé, mais aussi qu’il faut poursuivre sur cette voie. Une vraie volonté politique est donc ici nécessaire pour simplifier les procédures administratives, accélérer les prises de décision et recentrer les biologistes sur leur cœur de métier. Le Biologiste Augmenté 2020 est la première publication à prendre du recul sur ces évènementsafin d’offrir quelques pistes de réflexion et positionner la biologie médicale au cœur des parcours de soin. Elle a donc toute sa place pour tirer les leçons du Covid-19.
Plus d'informations sur le site de Medicus.ai.
Article publié sur le numéro de septembre d'Hospitalia à consulter ici.
Jules Caput : Notre approche est effectivement un peu différente cette année. Alors que pour la première édition, nous nous étions concentrés sur les biologistes médicaux, nous avons voulu ici élargir le spectre à d’autres acteurs du secteur, les industriels, les médecins, les assureurs… Nous pouvons ainsi offrir une vision plus large des dynamiques à l’œuvre dans le monde de la santé, qui s’est déjà fortement transformé suite à la crise sanitaire.
Cette nouvelle publication ne fera donc pas l’impasse sur la crise. Quels sont à votre sens les enseignements de cette période ?
Jules Caput : Sans dévoiler notre synthèse globale, il est certain que la pandémie a eu un impact fort sur l’ensemble des acteurs de santé. En quelques semaines, les biologistes sont par exemple passés d’une position quelque peu en retrait à un rôle de premier plan. Ils ont donc dû modifier leurs pratiques pour répondre au mieux à la situation, en développant notamment leur utilisation des outils numériques.
Eudes de Villiers : On dit souvent que les professionnels du diagnostic sont les acteurs silencieux de la chaîne de soin. Tous ceux avec lesquels nous nous sommes entretenus pour cette nouvelle édition du Biologiste Augmenté s’accordent pour reconnaître que les choses ont changé, mais aussi qu’il faut poursuivre sur cette voie. Une vraie volonté politique est donc ici nécessaire pour simplifier les procédures administratives, accélérer les prises de décision et recentrer les biologistes sur leur cœur de métier. Le Biologiste Augmenté 2020 est la première publication à prendre du recul sur ces évènementsafin d’offrir quelques pistes de réflexion et positionner la biologie médicale au cœur des parcours de soin. Elle a donc toute sa place pour tirer les leçons du Covid-19.
Plus d'informations sur le site de Medicus.ai.
Article publié sur le numéro de septembre d'Hospitalia à consulter ici.