Ces interventions ont illustré de manière tangible le fait que la télémédecine est à même de changer profondément notre système de santé en abolissant les distances et en permettant ainsi un accès plus large à des soins adaptés et de qualité.
Grâce à l’implication des professionnels sur tout le territoire et au soutien des pouvoirs publics (dont le ministère), l’année 2018 marque un réel essor de la télémédecine dans son déploiement.
Grâce à l’implication des professionnels sur tout le territoire et au soutien des pouvoirs publics (dont le ministère), l’année 2018 marque un réel essor de la télémédecine dans son déploiement.
Des actes désormais remboursés
Financées jusqu’alors dans un cadre expérimental, la téléconsultation* et la téléexpertise** seront désormais remboursées comme n’importe quelle autre consultation médicale. Pour ce faire, une négociation entre l’assurance maladie et les partenaires conventionnels est actuellement en cours pour définir les tarifs pour chacun de ces actes. Il s’agit d’une avancée majeure, souhaitée par le gouvernement.
Par ailleurs, s’agissant de la télésurveillance, les expérimentations sur la télésurveillance*** se poursuivent au sein du programme ETAPES pour une période de 4 ans. Cela, autour de 5 pathologies définies par cahier des charges : insuffisance cardiaque, insuffisance respiratoire, insuffisance rénale, diabète et patients porteurs de prothèses cardiaques implantables.
Aujourd’hui, ce sont déjà près de 1 000 patients qui peuvent, grâce à ces expérimentations, bénéficier d’un suivi rapproché de leur maladie sur leur lieu de vie.
*consultation entre un patient et un médecin à distance
**avis d’expert à un médecin sur la base d’informations médicales
***surveillance et interprétation à distance de paramètres médicaux d’un patient
Plus d’information : le dossier internet du ministère
Par ailleurs, s’agissant de la télésurveillance, les expérimentations sur la télésurveillance*** se poursuivent au sein du programme ETAPES pour une période de 4 ans. Cela, autour de 5 pathologies définies par cahier des charges : insuffisance cardiaque, insuffisance respiratoire, insuffisance rénale, diabète et patients porteurs de prothèses cardiaques implantables.
Aujourd’hui, ce sont déjà près de 1 000 patients qui peuvent, grâce à ces expérimentations, bénéficier d’un suivi rapproché de leur maladie sur leur lieu de vie.
*consultation entre un patient et un médecin à distance
**avis d’expert à un médecin sur la base d’informations médicales
***surveillance et interprétation à distance de paramètres médicaux d’un patient
Plus d’information : le dossier internet du ministère