Le comité de direction de la clinique Santé Atlantique. ©DR
Comment expliquez-vous votre position au sein de ce classement ?
Thomas Divisa : C’est toujours une récompense collective d’être en haut d’un classement. Cette place est d’ailleurs cohérente avec notre stratégie de regroupement effectuée en 2018 et 2019, et qui avait donné lieu à la création de Santé Atlantique. Cela étant dit, ce type de palmarès fait la synthèse de beaucoup d’indicateurs, parfois hétérogènes, sans forcément prendre en compte l’environnement des établissements de santé. Or le territoire nantais où nous sommes implantés bénéficie d’une histoire forte en matière d’excellence médicale, dont nous nous nourrissons.
Vous l’avez dit, la clinique Santé Atlantique est une structure très récente.
Elle est effectivement née de la fusion de la Polyclinique Atlantique, notamment reconnue pour ses activités d’obstétrique et fonctionnelles, de la clinique Jeanne d’Arc, premier centre SOS Main de France, de la clinique Sourdille dont le rayonnement est international, et de la clinique Saint-Augustin, véritable institution de la région nantaise. Effectif depuis peu, ce regroupement a continué d’évoluer et s’est récemment traduit par la définition d’un projet médical commun enrichi par nos différentes spécialités. Nous pouvons ainsi proposer une offre de soin adaptée à toutes les étapes de la vie, de la naissance à la prise en charge de maladies chroniques en passant par la pédiatrie, l’orthopédie ou l’aide à la procréation, par exemple.
Quels sont vos projets pour l’année 2021 ?
Afin de poursuivre sur cette voie, nous souhaitons renforcer l’offre médicale de la clinique via l’ouverture d’un accueil non-programmé, l’ouverture d’une salle hybride, le développement de la radiologie interventionnelle, une chimiothérapie en hôpital de jour et l’augmentation de la technicité des activités de chirurgie, tout en accompagnant au mieux les patients sur des parcours ambulatoires. La clinique collabore ainsi avec de nombreux établissements, dont le Centre Hospitalier Universitaire ou le Centre de lutte contre le cancer. Ces échanges font toute la force du territoire de santé nantais, qui s’appuie sur des professionnels de qualité travaillant ensemble au quotidien.
Thomas Divisa : C’est toujours une récompense collective d’être en haut d’un classement. Cette place est d’ailleurs cohérente avec notre stratégie de regroupement effectuée en 2018 et 2019, et qui avait donné lieu à la création de Santé Atlantique. Cela étant dit, ce type de palmarès fait la synthèse de beaucoup d’indicateurs, parfois hétérogènes, sans forcément prendre en compte l’environnement des établissements de santé. Or le territoire nantais où nous sommes implantés bénéficie d’une histoire forte en matière d’excellence médicale, dont nous nous nourrissons.
Vous l’avez dit, la clinique Santé Atlantique est une structure très récente.
Elle est effectivement née de la fusion de la Polyclinique Atlantique, notamment reconnue pour ses activités d’obstétrique et fonctionnelles, de la clinique Jeanne d’Arc, premier centre SOS Main de France, de la clinique Sourdille dont le rayonnement est international, et de la clinique Saint-Augustin, véritable institution de la région nantaise. Effectif depuis peu, ce regroupement a continué d’évoluer et s’est récemment traduit par la définition d’un projet médical commun enrichi par nos différentes spécialités. Nous pouvons ainsi proposer une offre de soin adaptée à toutes les étapes de la vie, de la naissance à la prise en charge de maladies chroniques en passant par la pédiatrie, l’orthopédie ou l’aide à la procréation, par exemple.
Quels sont vos projets pour l’année 2021 ?
Afin de poursuivre sur cette voie, nous souhaitons renforcer l’offre médicale de la clinique via l’ouverture d’un accueil non-programmé, l’ouverture d’une salle hybride, le développement de la radiologie interventionnelle, une chimiothérapie en hôpital de jour et l’augmentation de la technicité des activités de chirurgie, tout en accompagnant au mieux les patients sur des parcours ambulatoires. La clinique collabore ainsi avec de nombreux établissements, dont le Centre Hospitalier Universitaire ou le Centre de lutte contre le cancer. Ces échanges font toute la force du territoire de santé nantais, qui s’appuie sur des professionnels de qualité travaillant ensemble au quotidien.
Article publié dans le numéro de février d'Hospitalia à consulter ici.
©DR
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