L’Hôpital Privé de Provence (HPP) vient de signer une convention avec LIFELINES, opérateur aixois spécialisé dans la logistique santé automatisée, soutenu par le Pôle de Compétitivité EuroBioMed pour la recherche de financement stratégique « La Santé Numérique ». L’objectif : privilégier, à échéance 2025, le transport par drone jugé plus rapide, économique, écologique et fiable, comme liaison régulière de prélèvements et de poches de sang. L’idée étant de relier l’HPP et le centre aixois de l’Etablissement Français du Sang (EFS), tous deux séparés par 13 kilomètres de routes souvent encombrées.
Positionné comme précurseur en France par l'ambition de ce projet et par la relation entre privé et public, l’HPP prévoit un vol test « in situ » courant 2022 qui fera appel à un drone-avion eVTOL du constructeur néerlandais AVY. Premier test de ce genre effectué en région Provence-Alpes- Côte d’Azur, mis en place grâce au soutien du Pôle de compétitivité SAFE et la région Provence- Alpes-Côte d’Azur, il permettra notamment de valider les couloirs aériens avec les instances de sécurité et hospitalières, tester la procédure d’atterrissage, effectuer les contrôles de wifi...
« Cette initiative entre dans le cadre de l’amélioration continue des soins à nos patients. Elle témoigne de notre volonté d’investir dans la technologie et l’innovation et permettra, dès que la règlementation l’autorisera, de transporter des colis géolocalisés et connectés en temps réel, avec une garantie de traçabilité parfaite. Cette solution apporte une véritable valeur ajoutée au secteur de la santé », notent le Dr Jean Lacoste et Sophie Laussel, respectivement PDG et Directrice Générale de l’HPP.
Pouvant transporter une charge utile allant jusqu’à 4 kg et voler à une vitesse moyenne de 100 km/h, ces drones mettront, à terme, une dizaine de minutes pour parcourir la distance séparant l’HPP du centre aixois de l’EFS. Dotées de 5 moteurs ces ailes volantes seront « zéro carbone », « zéro CO2 » et auront une consommation quasi nulle.
« Nous sommes sur un marché qui ne cesse de se développer, grâce notamment à des acteurs comme l’HPP qui réfléchit depuis 2 ans aux nombreux atouts de ce mode d’acheminement. D’ici une dizaine d’années, ce type de transport vise à devenir le standard européen du transport de sang, de poches de chimiothérapie et d'organes, avec des liaisons fixes entre centre hospitalier privé et public pouvant aller au-delà de 100 km », explique Marc Pavageau, Président de Lifelines.
Positionné comme précurseur en France par l'ambition de ce projet et par la relation entre privé et public, l’HPP prévoit un vol test « in situ » courant 2022 qui fera appel à un drone-avion eVTOL du constructeur néerlandais AVY. Premier test de ce genre effectué en région Provence-Alpes- Côte d’Azur, mis en place grâce au soutien du Pôle de compétitivité SAFE et la région Provence- Alpes-Côte d’Azur, il permettra notamment de valider les couloirs aériens avec les instances de sécurité et hospitalières, tester la procédure d’atterrissage, effectuer les contrôles de wifi...
« Cette initiative entre dans le cadre de l’amélioration continue des soins à nos patients. Elle témoigne de notre volonté d’investir dans la technologie et l’innovation et permettra, dès que la règlementation l’autorisera, de transporter des colis géolocalisés et connectés en temps réel, avec une garantie de traçabilité parfaite. Cette solution apporte une véritable valeur ajoutée au secteur de la santé », notent le Dr Jean Lacoste et Sophie Laussel, respectivement PDG et Directrice Générale de l’HPP.
Pouvant transporter une charge utile allant jusqu’à 4 kg et voler à une vitesse moyenne de 100 km/h, ces drones mettront, à terme, une dizaine de minutes pour parcourir la distance séparant l’HPP du centre aixois de l’EFS. Dotées de 5 moteurs ces ailes volantes seront « zéro carbone », « zéro CO2 » et auront une consommation quasi nulle.
« Nous sommes sur un marché qui ne cesse de se développer, grâce notamment à des acteurs comme l’HPP qui réfléchit depuis 2 ans aux nombreux atouts de ce mode d’acheminement. D’ici une dizaine d’années, ce type de transport vise à devenir le standard européen du transport de sang, de poches de chimiothérapie et d'organes, avec des liaisons fixes entre centre hospitalier privé et public pouvant aller au-delà de 100 km », explique Marc Pavageau, Président de Lifelines.