Peter Durlach, Senior Vice-Président en charge de la stratégie et du développement Santé chez Nuance Communications, livre sa vision de ce qui nous attend en matière de santé et de technologie dans les prochaines années :
• Comme dans de nombreux secteurs d’innovation technologique, l’intelligence artificielle va continuer sa montée en puissance et son déploiement dans la santé. À mesure que l’IA sera utilisée, ses bénéfices cliniques seront plus importants et plus quantifiables. Très prochainement, il sera difficile d’imaginer une consultation médicale ou une hospitalisation qui n’inclue pas d’IA dans de nombreux processus médicaux.
• L’IA et la technologie capable de capter les échanges entre le médecin et son patient (Intelligence Clinique Ambiante) permettront de ré-humaniser la relation, en libérant les professionnels de santé d’un temps considérable passé à la saisie informatique liée au suivi médical. Aujourd’hui, les médecins passent jusqu’à 50% de leur temps à renseigner les dossiers des patients et seulement 13% en moyenne à parler à leurs patients. Avec une technologie capable de compléter « toute seule » les dossiers patients informatisés, l’équilibre sera rétabli pour un parcours de soin plus humain.
• L’IA et la « Robotic Process Automation » (RPA) permettront d’automatiser partiellement ou en totalité des fonctions administratives liées au financement et à la prise de rendez-vous par exemple, faisant réaliser des économies très significatives aux établissements de santé.
« Les éventuelles craintes d’une IA qui vienne remplacer les médecins sont désormais dissipées ; il s’agit désormais de définir dans quelle mesure l’IA peut être intégrée à toutes les étapes médicales pour redonner du sens et du temps aux professionnels afin qu’ils se concentrent sur ce qui le mérite vraiment. Nous travaillons désormais à ne pas démultiplier les notifications et alertes créées par ces assistants virtuels, pour ne pas créer de lassitude qui ait un impact négatif sur le discernement et la réactivité des médecins », explique Peter Durlach.
• Comme dans de nombreux secteurs d’innovation technologique, l’intelligence artificielle va continuer sa montée en puissance et son déploiement dans la santé. À mesure que l’IA sera utilisée, ses bénéfices cliniques seront plus importants et plus quantifiables. Très prochainement, il sera difficile d’imaginer une consultation médicale ou une hospitalisation qui n’inclue pas d’IA dans de nombreux processus médicaux.
• L’IA et la technologie capable de capter les échanges entre le médecin et son patient (Intelligence Clinique Ambiante) permettront de ré-humaniser la relation, en libérant les professionnels de santé d’un temps considérable passé à la saisie informatique liée au suivi médical. Aujourd’hui, les médecins passent jusqu’à 50% de leur temps à renseigner les dossiers des patients et seulement 13% en moyenne à parler à leurs patients. Avec une technologie capable de compléter « toute seule » les dossiers patients informatisés, l’équilibre sera rétabli pour un parcours de soin plus humain.
• L’IA et la « Robotic Process Automation » (RPA) permettront d’automatiser partiellement ou en totalité des fonctions administratives liées au financement et à la prise de rendez-vous par exemple, faisant réaliser des économies très significatives aux établissements de santé.
« Les éventuelles craintes d’une IA qui vienne remplacer les médecins sont désormais dissipées ; il s’agit désormais de définir dans quelle mesure l’IA peut être intégrée à toutes les étapes médicales pour redonner du sens et du temps aux professionnels afin qu’ils se concentrent sur ce qui le mérite vraiment. Nous travaillons désormais à ne pas démultiplier les notifications et alertes créées par ces assistants virtuels, pour ne pas créer de lassitude qui ait un impact négatif sur le discernement et la réactivité des médecins », explique Peter Durlach.
(*) Étude Google Survey réalisée pour Nuance Communications sur un échantillon de 2011 personnes représentatif de la population française âgée de de 18 à 65 ans et menée du 27 février au 1er mars 2019.