Engagé depuis dix ans, le programme d’investissement d’avenir mis en place par le gouvernement, devenu France 2030, finance des projets innovants, liés à la transition écologique et à la transformation du pays. Une partie de l’enveloppe alimente la Stratégie d’accélération de la santé numérique (SASN) qui encourage notamment le développement de la formation initiale et continue pour faire monter en compétences l’ensemble des acteurs de la santé numérique dont les professionnels de santé, et les ingénieurs et informaticiens.
Porté par Sorbonne université, le projet SN@SU a vu le jour en réponse à la deuxième vague de l’appel à manifestation d’intérêt « Compétences et Métiers d’Avenir » en santé numérique. Ce projet ambitieux est apparu comme une évidence pour :
Porté par Sorbonne université, le projet SN@SU a vu le jour en réponse à la deuxième vague de l’appel à manifestation d’intérêt « Compétences et Métiers d’Avenir » en santé numérique. Ce projet ambitieux est apparu comme une évidence pour :
- Adresser largement la santé numérique dans la formation des professionnels de santé en Ile-de-France en associant de nombreux métiers (médecins, sages-femmes, orthophonistes, orthoptistes, psychomotriciens, infirmiers et infirmières, masseurs- kinésithérapeutes et masseuses-kinésithérapeutes et ergothérapeutes),
- Acculturer les futurs spécialistes du numérique au monde de la santé.
Près de 30 000 professionnels formés d’ici cinq ans
La réunion de lancement de SN@SU a rassemblé le 7 juin 2023 les représentants de l’Agence nationale de la recherche et les participants engagés dans le projet.
SN@SU permet la coordination d’un consortium de 17 partenaires publics et privés parmi lesquels, pour le secteur public, Sorbonne Université (avec la faculté des Sciences et Ingénierie, et la faculté de Santé, qui elle-même regroupe les étudiantes et étudiants en médecine, orthophonistes, orthoptistes, psychomotriciens, sages-femmes, infirmiers et infirmières, masseurs-kinésithérapeutes et masseuses- kinésithérapeutes), le Centre de la formation et du développement des compétences de l’AP-HP, ainsi que l’Université de technologie de Compiègne, l’École supérieure d’ingénieurs ESIEE-Paris, le groupement régional d’appui au développement de la e-Santé (GRADeS) de l’Ile-de-France (SESAN) et la plateforme du Health Data Hub, et l’école de kinésithérapie de Paris, plusieurs Instituts de formation en soins infirmiers (Fondation Léonie Chaptal, Fondation œuvre de la Croix Saint-Simon, Croix Rouge Française Paris et Mantes-la-Jolie, IFSI Franco-Britannique), l’Institut de Formation en Ergothérapie ADERE Paris (Association pour le Développement, l'Enseignement et la Recherche en Ergothérapie), la société Relations médicales, la Société française de médecine générale (SFM), la Fédération des éditeurs d'informatique médicale, et paramédicale en ambulatoire (FEIMA) et l’association Game for Citizens, pour le secteur privé.
La valeur ajoutée de ce programme d’enseignement repose sur l’élaboration de courtes capsules visant des objectifs pédagogiques atomiques, qui seront développées selon des modalités plurielles :
Ces éléments seront stockés sur une plateforme mutualisée, permettant aux enseignantes et enseignants de créer des parcours pédagogiques à la carte. L’organisation d’une conférence annuelle ouverte au grand public complètera ce dispositif. L’accessibilité numérique sera une préoccupation essentielle des producteurs de contenus et l’écoconception des ressources numériques sera à la base de tous les développements afin d’en limiter l’impact environnemental.
Ce projet de conception, d’élaboration et de dispensation de formations à la santé numérique est piloté par le Pr Brigitte Seroussi de Sorbonne Université. Il a reçu un financement de 4 millions d’euros pour former à la santé numérique près de 30 000 professionnels d’ici cinq ans.
SN@SU permet la coordination d’un consortium de 17 partenaires publics et privés parmi lesquels, pour le secteur public, Sorbonne Université (avec la faculté des Sciences et Ingénierie, et la faculté de Santé, qui elle-même regroupe les étudiantes et étudiants en médecine, orthophonistes, orthoptistes, psychomotriciens, sages-femmes, infirmiers et infirmières, masseurs-kinésithérapeutes et masseuses- kinésithérapeutes), le Centre de la formation et du développement des compétences de l’AP-HP, ainsi que l’Université de technologie de Compiègne, l’École supérieure d’ingénieurs ESIEE-Paris, le groupement régional d’appui au développement de la e-Santé (GRADeS) de l’Ile-de-France (SESAN) et la plateforme du Health Data Hub, et l’école de kinésithérapie de Paris, plusieurs Instituts de formation en soins infirmiers (Fondation Léonie Chaptal, Fondation œuvre de la Croix Saint-Simon, Croix Rouge Française Paris et Mantes-la-Jolie, IFSI Franco-Britannique), l’Institut de Formation en Ergothérapie ADERE Paris (Association pour le Développement, l'Enseignement et la Recherche en Ergothérapie), la société Relations médicales, la Société française de médecine générale (SFM), la Fédération des éditeurs d'informatique médicale, et paramédicale en ambulatoire (FEIMA) et l’association Game for Citizens, pour le secteur privé.
La valeur ajoutée de ce programme d’enseignement repose sur l’élaboration de courtes capsules visant des objectifs pédagogiques atomiques, qui seront développées selon des modalités plurielles :
- Cours magistraux
- Travaux pratiques, travaux dirigés
- Séquences de e-learning
- Simulation
- Films d’animation
- Jeux sérieux.
Ces éléments seront stockés sur une plateforme mutualisée, permettant aux enseignantes et enseignants de créer des parcours pédagogiques à la carte. L’organisation d’une conférence annuelle ouverte au grand public complètera ce dispositif. L’accessibilité numérique sera une préoccupation essentielle des producteurs de contenus et l’écoconception des ressources numériques sera à la base de tous les développements afin d’en limiter l’impact environnemental.
Ce projet de conception, d’élaboration et de dispensation de formations à la santé numérique est piloté par le Pr Brigitte Seroussi de Sorbonne Université. Il a reçu un financement de 4 millions d’euros pour former à la santé numérique près de 30 000 professionnels d’ici cinq ans.
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