Vous utilisez Emed depuis déjà plusieurs années. Pourriez-vous nous en parler ?
Jean-Marc Pocard : Cette solution particulièrement complète nous donne en effet entière satisfaction. Souple, évolutive et 100 % paramétrable, elle nous permet de piloter les processus de soins de manière optimale, mais aussi de recueillir l’ensemble des indicateurs requis par les programmes nationaux. Nous avons d’ailleurs ainsi obtenu des financements dans le cadre de HOP’EN et SUN-ES. Surtout, Emed a à mon sens un avantage indéniable par rapport à d’autres DPI : sa très grande ergonomie, qui permet par exemple à un médecin de disposer d’une vue de service pour lire instantanément les différents bilans sanguins. Toutes les informations utiles sont donc accessibles sans qu’il ne soit nécessaire de multiplier les clics. Cette simplicité d’utilisation est très appréciable, car tout est fait pour faciliter l’exercice quotidien : interfaces spécifiquement pensées pour chaque métier, possibilité de créer des formulaires sur mesure, d’accéder rapidement aux statistiques d’activité, etc.
Emed joue aujourd’hui une part active dans votre stratégie e-santé. Pourriez-vous nous donner quelques exemples ?
Avec Emed, nous disposons en effet d’un DPI en parfaite adéquation avec nos exigences et celles des pouvoirs publics. Surtout, la solution évolue avec nos besoins : les équipes de Nexus / France sont à notre écoute et savent être réactives pour répondre à nos demandes, en implémentant par exemple directement une solution de dictée vocale. En écho à notre démarche « zéro papier », nous avons également numérisé le processus de prise de décision LATA en soins palliatifs, et sommes en train de déployer un module pour enregistrer automatiquement les documents scannés au sein des DPI concernés. Ce sont à chaque fois des besoins que nous avions exprimés, et qui ont été entendus par Nexus / France. C’est donc pour nous un partenaire précieux, avec lequel nous avons encore de nombreux projets, comme celui dédié à l’évitement iatrogénique en temps réel.
Article publié dans l'édition de mai 2022 d'Hospitalia à lire ici.
Jean-Marc Pocard : Cette solution particulièrement complète nous donne en effet entière satisfaction. Souple, évolutive et 100 % paramétrable, elle nous permet de piloter les processus de soins de manière optimale, mais aussi de recueillir l’ensemble des indicateurs requis par les programmes nationaux. Nous avons d’ailleurs ainsi obtenu des financements dans le cadre de HOP’EN et SUN-ES. Surtout, Emed a à mon sens un avantage indéniable par rapport à d’autres DPI : sa très grande ergonomie, qui permet par exemple à un médecin de disposer d’une vue de service pour lire instantanément les différents bilans sanguins. Toutes les informations utiles sont donc accessibles sans qu’il ne soit nécessaire de multiplier les clics. Cette simplicité d’utilisation est très appréciable, car tout est fait pour faciliter l’exercice quotidien : interfaces spécifiquement pensées pour chaque métier, possibilité de créer des formulaires sur mesure, d’accéder rapidement aux statistiques d’activité, etc.
Emed joue aujourd’hui une part active dans votre stratégie e-santé. Pourriez-vous nous donner quelques exemples ?
Avec Emed, nous disposons en effet d’un DPI en parfaite adéquation avec nos exigences et celles des pouvoirs publics. Surtout, la solution évolue avec nos besoins : les équipes de Nexus / France sont à notre écoute et savent être réactives pour répondre à nos demandes, en implémentant par exemple directement une solution de dictée vocale. En écho à notre démarche « zéro papier », nous avons également numérisé le processus de prise de décision LATA en soins palliatifs, et sommes en train de déployer un module pour enregistrer automatiquement les documents scannés au sein des DPI concernés. Ce sont à chaque fois des besoins que nous avions exprimés, et qui ont été entendus par Nexus / France. C’est donc pour nous un partenaire précieux, avec lequel nous avons encore de nombreux projets, comme celui dédié à l’évitement iatrogénique en temps réel.
Article publié dans l'édition de mai 2022 d'Hospitalia à lire ici.