« Partant du constat d’un sentiment d’insécurité de la part du personnel soignant qui observe au quotidien un accroissement de l’agressivité des patients, Ascom propose depuis trois ans environ une gamme de téléphones mobiles conçus pour répondre à leurs besoins de sécurité » raconte Cyril Dufresne, directeur marketing d’Ascom. Ce sentiment d’insécurité s’est récemment accentué lorsque, le 28 janvier 2015 au CHU Vinatier de Lyon, un infirmier a été agressé à l’arme blanche par un patient des urgences psychiatriques.
Or, dans le secteur hospitalier, et plus particulièrement dans les services psychiatriques, le personnel est difficile à recruter et à garder. Les solutions PTI d’Ascom permettent de répondre aux besoins de sécurité du personnel soignant et d’améliorer leurs conditions de travail. Ces solutions associent communication, mobilité et sécurité. Elles permettent une localisation précise et une assistance rapide en cas d’incidents et renforce ainsi le sentiment de sécurité du personnel. Les solutions présentent de nombreux avantages tels qu’une gestion simplifiée et des coûts maitrisés. L’organisation est optimisée et si les équipes soignantes ont d’avantage de temps pour les soins, elles subissent moins de stress et se sentent davantage en sécurité, et auront tendance à rester plus longtemps au sein de l’hôpital.
Les solutions PTI d’Ascom permettent de recevoir une réponse immédiate sur la nature de l’évènement et sa localisation. Elles aident en outre à coordonner et à communiquer les actions dans les situations d'urgence. « Nos solutions ne devraient a priori pas exister car les situations de travailleur isolé n’ont pas lieu d’être. Néanmoins, nous avons de plus en plus de demande d’établissements de santé désireux de s’équiper en solutions PTI. Nous les aidons donc à personnaliser une solution adaptée à leurs besoins et à leur technologie afin de réduire les risques pour leurs personnels. Sur demande de nos clients, Ascom effectue des visites annuelles afin de vérifier que l’équipement est utilisé à bon escient et, le cas échéant, leur proposer une technologie mieux adaptée à leurs besoins » conclut Cyril Dufresne.